Intervenir est lié à la notion d'ingérence. Quand j'interviens, je fais 1 acte d'intension dans 1 relation qui préexiste. Donc intervenir est 1 démarche, une action qui a des effets sur les relations, le contexte (...)
[...] Tochon parle de routine de compréhension c'est-à-dire que l'enseignant pose des questions et il sait qui interroger pour que la réponse soit rapide. Dans les routines d'installation les élèves savent ce qu'ils doivent faire Conclusion : définition de l'expertise Tochon reprend la terminologie de Yinger pour nous dire que l'enseignement est une improvisation bien planifier, qui englobe des pensées en cours d'actions et des routines. Durand et Arzel parlent d'improvisation collective. Tochon a essayé de modéliser les facteurs de l'expertise : Les connaissances académiques et pédagogiques L'expérience La capacité à avoir une activité réflexive sur sa pratique (explication, transmission . [...]
[...] Les actions de l'enseignant relatif à l'aide à l'apprentissage peuvent être formalisées dans 3 caractéristiques : L'aide peut être fondée sur la répétition (répétition indispensable au progrès mais source d'ennui, de démotivation, répétition avec variable des caractéristiques de situation d'apprentissage), aide dans l'accompagnement des élèves pour optimiser les solutions qu'ils trouvent, concevoir un aller- retour entre activité sensori-motrice et une activité de réflexion. Il faut analyser ces systèmes d'aide. 536) Conclusion L'approche anthropologique, c'est décrire, modéliser, comprendre les situations réelles de classe et on conçoit l'enseignement comme une totalité dynamique qui se construit, s'équilibre et s'organise selon une dimension temporelle et contextuelle Un exemple significatif : les travaux de GAL-PETITFAUX en natation Etudier les actes de communication de l'enseignant. [...]
[...] Quand j'interviens, je fais 1 acte d'intension dans 1 relation qui préexiste. Donc intervenir est 1 démarche, une action qui a des effets sur les relations, le contexte. ( on est dans 1 système interactif et dialectique. Paradigme : c'est 1 ensemble de découvertes scientifiques universellement reconnues qui pour 1 temps donné fournissent à 1 communauté de chercheurs des problèmes types et des solutions. Système clos où tous les chercheurs pensent de la même façon, avec les mêmes concepts et fournissent des recherches qui vont autoanalyser le paradigme. [...]
[...] Si on planifie avec des algorithmes cela signifie qu'on va élaborer des plans figés si alors). Penser les plans comme des heuristiques, c'est penser des plans beaucoup plus ouverts, plus souples et qui vont êtres reliés aux caractéristiques de l'environnement mais si mais si alors). Hoc nous dit que les heuristiques ne se font que sur la base d'algorithmes Les modèles traditionnels On s'est longtemps appuyé sur le modèle de Tyler qui considérait l'enseignant comme quelqu'1 de rationnel qui pour planifier, met en œuvre 4 étapes : Planifier les objectifs Planifier les contenus Planifier les conditions d'apprentissage (tâches) Planifier les modalités d'évaluation. [...]
[...] C'était donc 1 paradigme déductif : on va du chercheur à l'enseignant Cadre méthodologique Ce sont des observations quantitatives. Le chercheur va construire des outils d'observation qu'il utilisera sur le terrain comme les fiches mises au point par Flanders en 1970, Interaction Analyse Catégorie (FIAC). L'idée de cet auteur est de définir 2 modalités d'interventions : 1 intervention directe (exposés ) 1 intervention indirecte (pose des questions ) Il définit, pour cette fiche indices de chaque). Il fait 1 observation séquentielle secondes d'observation et 3 secondes où il note) et il fait des calculs d'indices (mise en relation = statistiques). [...]
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