douleur, culpabilité, Normes sociales et environnementales, corps, psychologie sociale, maladie, traitement, émotions, souffrance, patient, santé, physique, condition humaine, analyse, étude comparative, douleur émotionnelle, limites corporelles, expérience, IFSI, soins en EHPAD, relation au corps et maladie
Dans un premier temps, il est important de ne pas confondre la douleur et la souffrance. Alors que la douleur est un état localisé, la souffrance est le résultat d'une analyse cognitive et de réactions émotionnelles. L'environnement, par exemple, est un facteur important dans la manière dont la douleur est ressentie et vécue. De ce fait, la souffrance s'accompagne le plus souvent de la douleur, mais, inversement, la douleur ne s'accommode pas inévitablement de la souffrance.
[...] Nous pouvons donc nous demander si ressentir la douleur des autres nous apporte une culpabilité personnelle. En effet, l'impuissance d'une situation peut nous rendre coupable. Être face à un être cher, le voir souffrir, nous fait souffrir en retour. Mais, en réalité, ce qui nous fait souffrir est ce transfert de situation (absorber ses sentiments pour se les infliger) ou l'absence de solution que nous pouvons apporter à cette personne. Dans le cas où nous absorbons ses sentiments, comment être sur que ce sont les mêmes ? [...]
[...] De plus des femmes disent évacuer par la nourriture. Il existe ici aussi une explication scientifique à cela. L'alimentation, notamment lorsqu'elle est grasse et/ou sucrée, fait augmenter le taux de sérotonine (hormone du bonheur). L'alimentation joue donc un rôle important sur nos émotions. De plus, lorsque nous croisons les âges avec les réponses obtenues, nous pouvons observer que 80% des individus qui choisissent de se replier sur eux-mêmes ont plus de 40 ans. On peut donc se demander si l'expérience de la vie mène inévitablement au repli de soi. [...]
[...] En quoi pouvons-nous dire que le ressenti de la douleur diffère pour chacun ? Relation au corps et maladie Étudiant en soins infirmiers UE 1.1 : Psychologie, Sociologie et Anthropologie 1 - Introduction Nous avons choisi de traiter l'extrait n°2 car ce dernier nous a profondément inspiré. En effet, dans un monde où les réseaux sociaux ont une place prédominante dans nos vies, le rapport à son propre corps a été considérablement modifié. Voilà le point de vue de chacune d'entre nous sur cet extrait : Selon Elisa, la plupart des individus agissent en fonction de l'opinion publique et se plaisent à rentrer dans un moule modelé par la société. [...]
[...] Un accompagnement est néanmoins nécessaire au bon déroulement du processus afin d'apporter une guérison ou un apaisement durable. Ce travail nous permettra par la suite de mieux analyser et comprendre le vécu de la douleur face à nos patients. Notre capacité d'adaptation ainsi que nos différents apprentissages nous mèneront à une meilleure prise en charge des patients avec beaucoup moins d'appréhension - Bibliographie Vidal, (15 octobre 2021), j'ai mal ou je souffre ? Ministère des solidarités et de la santé citant l'association internationale pour l'étude de la douleur, (16 mars 2022), la douleur. [...]
[...] « La douleur se modifie suivant le caractère; chacun l'éprouve et la manifeste à sa manière; et il faut craindre de juger défavorablement celui en qui elle ne se montre pas sous les formes ordinaires », (Constance de Théis, 1835). La douleur est donc un indicateur que seul le patient lui-même est capable d'indiquer au soignant. Ce monopole rend ambiguë la perception de chacun. En effet, en tant que soignant, nous demandons souvent à nos patients de quantifier leur douleur sur une échelle numérique entre 0 et 10 (EVA). Or, une douleur notée 9 pour une personne peut être notée 6 pour une autre car cette dernière a vécu une expérience encore plus douloureuse par le passé. [...]
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