Bonjour, voici un aperçu du document :
- La conception de la santé au temps d'Hippocrate et de Galien (460-370 av JC)
- Les conceptions de la santé en Inde : se réfèrent à la médecine védique (à 70%) fondée sur une conception bouddhiste de l'être humain et de l'univers.
- Les conceptions profanes de la maladie. Selon Pedinielli (1996), il existe un important décalage entre les conceptions savantes et les positions étiologiques individuelles.
- Le modèle biomédical : est encore trop souvent présent dans la médecine d'aujourd'hui et dans les théories quotidiennes de la santé et de la maladie. Cette approche est inspirée de la théories du stress de Cannon et Selye (1912, 1956)
- Le modèle psychosomatique a tenté de relier certaines maladies chroniques à des conflits anciens non résolus et non exprimés.
- Les recherches épidémiologiques consistent à suivre des « cohortes » de sujets sains au départ, puis de comparer deux groupes : ceux atteints de maladie et les autres...
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[...] La formation réactionnelle : elle consiste à agir de façon complètement opposée à son désir inconscient. Ex : agir avec une grande politesse envers une personne que l'on méprise complètement. La dénégation : la représentation pulsionnelle gênante n'est pas refoulée, elle apparaît donc dans la conscience, mais le sujet s'en défend en n'admettant aucun lien avec lui-même. Le déni : il porte sur le fait de nier une partie plus ou moins importante de la réalité. L'isolation : consiste à isoler la représentation de sa charge affective. [...]
[...] ) groupe des pairs (deuil chez les pompiers . ) milieu du travail âge (avoir un cancer à 30 ans ou à 65 ans) sexe (sensibilité alcoolisme . ) actualité (méningite . ) Facteurs dispositionnels (individuels) : ATCD biomédicaux Type A : c'est un ensemble de caractéristiques (impatience, hostilité, compétitivité, vigueur des gestes et de la voix, débit de la parole rapide . ) Type B : personnes relaxées, sereines et sans sens interne de la pression du temps, et ayant une moindre réponse de détresse en face de situations incontrôlables. [...]
[...] ) La recherche de soutien social pour des raisons émotionnelles L'expression des sentiments Le désengagement comportemental La distraction Le blâme (si j'avais fait ceci ou cela) La réinterprétation positive L'humour Le déni (refus de croire que cette maladie existe, « petit cancer ») L'acceptation (la personne qui accepte la réalité de la situation stressante est plus à même de s'engager dans le combat contre la maladie) Spiritualité Consommation de substances (cannabis, OH, tabac) Les issues : Positives en matière de santé, de compliance au traitement, de suivi, de qualité de vie, de bien-être, d'estime de soi, de satisfaction au travail, de travail de deuil . Négatives en qualité de vie insuffisante, refus, agitation, idées noires, « burnout », deuil chronique, deuil compliqué . Le modèle transactionnel en psychologie de la santé : D'après M. [...]
[...] La phase d'ajustement ou de coping : Pour Lazarus et Folkman (1984), le « coping » désigne « l'ensemble des efforts cognitifs et comportementaux, constamment changeant, déployés pour gérer des exigences spécifiques internes et/ou externes qui sont évaluées par la personne comme consommant ou excédant ses ressources » De l'anglais : « to cope » = s'ajuster, s'adapter. Le « coping » apparaît donc bien comme un processus et non comme une caractéristique générale et stable. Le « coping » centré sur le problème : comprend deux dimensions (résolution du problème et affrontement de la situation). Pour Suls et Fletcher il convient de parler de coping « vigilant » ou « actif. [...]
[...] ) puis (évaluation secondaire) évaluer ses ressources (recherche de sens, attribution causales, croyances, normes . ) La phase d'évaluation est relativement spécifique et correspond à un processus transactionnel qui comprend le stress perçu, le contrôle perçu et le soutien social perçu. Définitions du stress : Lazarus et Folkman (1984) « le stress consisterait en une transaction entre la personne et l'environnement dans laquelle la situation est évaluée par l'individu comme débordant ses ressources et pouvant mettre en danger son bien-être » Sarafino (1990) « le stress est la résultante de transactions entre la personne et l'environnement, qui conduisent l'individu à percevoir une discordance, réelle ou imaginée, entre les demandes d'une situation et les ressources de ses propres systèmes biologique, psychologique et sociologique » Pour les psychophysiologiste, « est stress, tout événement qui induit la production endogène de cortisol » Durant la phase d'alarme, deux systèmes réactionnels vont être sollicités : Le système sympathique et médullo-surrénalien (adrénaline et noradrénaline) Le système hypothalamo-hypophyso-corticosurrénalien (glucocorticoïdes) Si ces deux systèmes sont trop sollicités ou trop actifs (réponse excessive, durée) les symptômes traduisant la surcharge des capacités d'adaptation de l'organisme peuvent apparaître (stade d'épuisement) avec désordre somatique sous forme d'ulcères, HTA . [...]
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