Y a-t-il eu un « bon vieux temps ? »

Thèmes abordés

Vie paysanne, bon vieux temps, protectionnisme économique, mode de vie,systèmes de communication

Résumé du document

Y a-t-il eu un « bon vieux temps ? ». On sait que dès le milieu des années 1800, la campagne commence peu à peu à s'ouvrir notamment grâce aux différents systèmes de communication : les chemins s'améliorent, on peut envoyer des lettres. Tout devient un peu plus confortable : on a accès à l'eau.
Le confort dans la vie arrive vers 1860 : une pièce à usage de chambre, au rez-de-chaussée ou à l'étage et la grande salle n'est plus qu'une salle de vie : salle à manger.
Milieu du XIXème siècle, c'est la fin de la disette et donc la fin de toutes les conséquences, directes ou indirectes de la nourriture pauvre.

Extraits

[...] Y a-t-il eu un bon vieux temps ? INTRO : Y a-t-il eu un bon vieux temps ? On sait que dès le milieu des années 1800, la campagne commence peu à peu à s'ouvrir notamment grâce aux différents systèmes de communication : les chemins s'améliorent, on peut envoyer des lettres. Tout devient un peu plus confortable : on a accès à l'eau. Le confort dans la vie arrive vers 1860 : une pièce à usage de chambre, au rez-de-chaussée ou à l'étage et la grande salle n'est plus qu'une salle de vie : salle à manger. [...]

[...] On peut parler de période de mutation, peut être lente au niveau Français de la structure agricole. Tout n'est pas tout blanc ou tout noire, mais la campagne française à une spécificité : on parle de modernisation à partir de la révolution industriel de manière abusive : en effet, il faut se rappeler que la véritable mutation de la société française ne va être perceptible que pendant les trente glorieuse, c'est à dire, il y a 80 ans. Période trop enjolivée, alors que les crises étaient présentes : mais a été une occasion pour façonner la France telle qu'on la connaît actuellement, tout est devenu un peu plus technique. [...]

[...] Mais agisse de la même façon . Impose leurs lois. On met aussi en place les assurances mutuelles. C'est l'occasion de révéler aussi une vraie lutte des classes entre les gros propriétaires terriens qui vivent toujours de leur rente, face aux autres, les plus petits qui ont un peu plus souffert de la crise. Opposition entre les deux formes de vie. Mouvements qui seront très suivi : le nombre des syndiqués et des syndicats ne va cesser de croître durant cette période. [...]

[...] de diminuer pour attendre le poids de 19% comme on peut le voir dans le tableau. Enseignement agricole. Mais : Même si la France tente de faire bonne figure, elle est assez en retard par rapport à ses voisins. La modernisation peine à se voir, parce qu'on estime que les populations paysannes sont encore assez nombreuses pour produire, donc le progrès technique peut attendre. Les situations sont assez différentes selon que l'on se trouve dans telle ou telle région. La pensée : Le sentiment d'appartenance n'est plus le même, la généralisation de l'école, du service militaire réduise la perpétuation de la famille agricole . [...]

[...] Ce n'est pas parce qu'on a une petite terre qu'on ne peut pas être riche : la région des vins, le champagne, sont des activités qui rapportent. L'organisation de l'agriculture Clivage entre celui qui est propriétaire et celui qui ne l'est pas. Mais est-ce avantageux ? Les différentes sociales dans la société rurales se répartissent en fonction du mode de faire-valoir. On parle de faire-valoir direct lorsque celui qui exploite une terre agricole en est également propriétaire. A l'inverse, on parle de faire-valoir indirect lorsqu'un paysan (fermier, métayer ou journalier) exploite une terre dont il n'est pas propriétaire. Il existe différent type de faire-valoir indirect. [...]