Du début de la guerre du VietNam en 1959 au concert de Woodstock marquant leur apogée en 1969, les « Hippies », s'exprimèrent sous de multiples formes. En effet la Guerre du VietNam, conflit armé qui se déroula au VietNam, entre le Vietnam du Sud et les Etats-Unis, et le Vietnam du nord et le F.N.L. marqua le début des rebellions de jeunes gens qui manifestaient contre cette guerre qu'ils qualifiaient « d'inutile » et qui pour la plupart furent regroupés sous l'appellation « hippies ».
Ce mouvement, qui était donc pacifiste, appelé « Hippie » porte son nom du mot argot anglo-américain « hip » désignant, à l'origine, un certain rythme de jazz. Etant des descendants directs (où ils puisèrent l'origine de leur nom) de la « Beat generation » (Terme désignant les admirateurs des « Hipsters », ou même parfois appelés « Hip », des groupes de musiciens de Jazz noirs américains : ce sont d'ailleurs ces musiciens qui nommèrent ces admirateurs les « Hippies »), et, suivant le modèle des « beatniks » des romans de Jack Kerouac qui y prônait la liberté individuelle, le retour à la terre et un amour universel.
Désignant plus tard un fumeur de Marijuana, la dénomination de cette « nouvelle génération » de jeunes souvent vue, également de nos jours, comme faisant partie d'un mouvement de contre-culture porté par les drogues, était toute trouvée dans l'histoire : Les HIPPIES (...)
[...] Manuels scolaires : Manuel d'histoire Bréal : Le monde de 1939 à nos jours (Terminales) Manuel d'histoire Hatier (Terminales) Sites ou pages Web : 1. Nom du site : Centre de documentation du lycée St-Marc. Adresse url : www.st-marc.org Date de mise à jour : mercredi 14 janvier 2004 Auteurs : élèves et professeurs du lycée ainsi que des professionnels de l'informatique Nom du site : radio-canada.ca Adresse url : www.radio-Canada.ca Date de mise à jour : tous les jours. [...]
[...] Les hippies ont joué là un rôle très important car si nos Verts existent aujourd'hui c'est grâce à eux, à leurs contestations contre l'industrie nucléaire, contre la recherche effrénée d'énergie La création de Green Peace n'aurait peut-être pas eu lieu sans leurs idées révolutionnaires. Mais tous les thèmes encore en débat à notre époque rejoignant ceux des années soixante ne tiennent pas leur origine de ce mouvement. Bien que la vie en communauté ait été l'une des principales caractéristiques des hippies et qu'ils la défendaient, elle n'a pas existé seulement à cette période. Comme nous l'avons dit précédemment, d'autres sont apparues dès le XIXème siècle notamment chez les Kibboutz israéliens et chez les ashrams indiens. [...]
[...] GreenPeace s'occupe avant tout des problèmes écologiques le plus critiques à l'échelle planétaire comme : La protection des océans et des forêts anciennes, La promotion des énergies renouvelables pour arrêter la perturbation du climat planétaire, Le désarmement nucléaire et la fin des contamination radioactives etc . C'est en 79 que cette organisation devint internationale GreenPeace est présente dans 40 pays à travers le monde et compte prés de donateurs répartis dans ces pays Il y a 26 bureaux de GreenPeace dans le monde et depuis 1989 son siége international est à Amsterdam. [...]
[...] 59% des garçons et 43% des filles de 17ans déclarent en avoir déjà fumé au moins une fois, soit 25% plus qu'en 1993 En effet depuis 10 ans l'augmentation du nombre de consommateurs ne cesse de grimper. Il est dit qu'en 2000, un garçon sur deux ( 50.1 et plus d'une fille sur trois reconnaissent avoir consommés du cannabis, au moins une fois dans leur vie. Cette proportion atteint pour les garçons âgés de 19 ans De plus le nombre de consommateurs quotidiens (estimé dans les journaux en tant que personne qui fument environ 20 fois dans un mois) est de chez les garçons et de chez les filles, face à ceux la il y a ceux qui en font une consommation répété (au moins 10 fois dans une année) qui sont de l'ordre de pour les garçons et de pour les filles. [...]
[...] Evidemment, tout cela se passait dans le respect le plus total des principes démocratiques. Ces hippies habitaient plus ou mois illégalement dans des maisons abandonnées, des "squats", et vivaient avec le minimum vital, puisqu'ils considéraient que c'est la société qui créé les besoins secondaires. Malgré cette foi en ce nouveau mode de vie, les communautés ne duraient jamais plus de quelques années car elles s'avouaient être un échec. Elles devenaient invivables pour plusieurs raisons : soit parce que les habitants ne s'entendaient plus entre eux, soit parce qu'ils se rendaient compte qu'ils avaient besoin de plus d'indépendance et d'individualité et que leur promiscuité était trop pénible à supporter. [...]
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