TPE sur le phénomène de fashion victim, qui répond à la problématique suivante : "Le phénomène de fashion victim est-il un concept nouveau ?". De nombreux sujets sont étudiés dans ce TPE tels que l'évolution de la mode, l'évocation de fashion victim dans la littérature, la stratégie des entreprises, la haute-couture et le prêt-à-porter, le public concerné, les théories de sociologues, la gravité du phénomène.
[...] Aujourd'hui les couturiers et les créateurs de mode sont plus estimés que jamais. Ils proposent des vêtements à la fois fonctionnels et séduisants. Ils vont aussi créer des emplois et dynamisent l'économie. On peut prendre l'exemple, du couturier Christian Lacroix qui travaille avec des artisans spécialisés, en broderie ou dans les dentelles. (Voir image) La fashion victims ne va pas acheter les vêtements de haute couture mais les accessoires de la marque ainsi que le prêt-à-porter (que l'on voit plus tard). [...]
[...] Les adolescents Victimes de la mode, les adolescents le sont et l'admettent volontiers. À un âge et dans une société où l'image contribue grandement à définir l'identité, les adolescents, soignent leur «look». Accessoires divers, vêtements de marque, signes de reconnaissance, tatouages ou piercings, sport ou musicale (rap, pop, reggae, baba, techno, gothique Chacun y va de son style pour se singulariser, communiquer son état d'esprit en affichant clairement son appartenance à une sensibilité. Ce phénomène d'identification est bien connu et a été largement commenté par les psychologues et les sociologues de la jeunesse. [...]
[...] Pour vendre leurs vêtements, les marques vont s'imposer trois conditions : la proximité des prix, la publicité et éveiller le désir d'acheter (ex : vitrines). Les prix sont plus ou moins élevés selon les marques. Chaque marque est donc destinée à une certaine classe sociale. Selon leur mode de vie, leur représentation physique, leur goût ils vont déterminer leur choix de marque. Le goût selon les différentes marques On peut prendre trois grandes marques de haute couture comme Chanel, Dior et Yves Saint-Laurent. Ces marques ont chacune un style propre qui les différencie et sur lequel elles vont s'appuyer pour se vendre. [...]
[...] Le jean triomphe en France à partir de 1967. Il constitue bientôt l'uniforme de la jeunesse mondiale, garçons comme filles. C'est paradoxalement là une façon de revendiquer l'individualité et la décontraction, en rejetant le vêtement bourgeois Dans les années 1980, la différenciation reprend ses droits : le futur critique d'art télévisuel Hector Obalk (alias Eric Walter), Alain Soral et Alexandre Pasche rencontrent un succès certain en expliquant (avec humour) aux parents ces mouvements de mode en concurrence les uns avec les autres. [...]
[...] Il constitue toujours l'uniforme de la jeunesse mondiale, garçon comme fille. C'est paradoxalement là une façon de revendiquer l'individualité et la décontraction, en rejetant le vêtement dit bourgeois. Réel phénomène de mode mondial, on le trouve partout, sous toutes les formes et à tous les prix. On peut aujourd'hui acheter un jeans à petit prix dans un centre commercial ou un jeans de marque comme Levi's, Guess ou encore Pepe jeans chez un commerçant. Ces marques sont réservées à des classes moyennes. [...]
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