Une école égalitaire et gratuite pour tous n'est pas une idée nouvelle, de nombreux philosophes des lumières s'étaient déjà penchés sur ce sujet comme Condorcet qui divise l'instruction en trois pour une meilleure adaptation aux élèves. En 1979 c'est Pierre Bourdieu qui dresse un bilan de l'école /actuelle plus discriminatoire encore. Enfin Jacques Rancière expose sa conception de l'élève expliqué et de l'abrutissement. Les avis des auteurs se croisent pour offrir trois pensées différentes : la soumission à un modèle commun, l'autorité suprême de l'instruction et les nouvelles méthodes d'apprentissage.
[...] Alors, quelle solution pour une école sans discrimination ? Le pouvoir des institutions étant total, la démocratisation de l'école et l'accès des classes populaires aux études n'ont fait que créer de nouvelles inégalités puisqu'ils n'ont pas accès/ aux mêmes écoles et n'étudient pas le même nombre d'années comme l'explique Bourdieu. Pour Rancière ce sont les maîtres qui gardent un pouvoir fort, abrutissant leurs élèves en liant systématiquement la compréhension à une explication d'un savant. Tout cela contribuant à leur extirper tout usage de/ la raison. [...]
[...] Condorcet imaginait déjà une démocratisation de l'Education une école pour tous. Bourdieu témoin de/ ce changement n'en constata qu'une accentuation des discriminations et conclut que la diversification des cursus et l'accès rendu plus facile n'était pas un synonyme d'égalité des chances du au pouvoir des Institutions. Pour Rancière instruire c'est aliéner l'élève, seul un apprentissage par soi/ même est efficace mots. Réflexion argumentée : L'état garantit il l'égalité des chances ? Malgré des efforts continus de l'Etat pour garantir la même chance pour tous, les inégalités ne cessent de se creuser notamment lors de poursuite d'études. [...]
[...] En 1979 c'est Pierre Bourdieu qui dresse un bilan de l'école /actuelle plus discriminatoire encore. Enfin Jacques Rancière expose sa conception de l'élève expliqué et de l'abrutissement. Les avis des auteurs se croisent pour offrir trois pensées différentes : la soumission à un modèle commun, l'autorité suprême de l'instruction et les nouvelles méthodes d'apprentissage. La première question posée / par ces auteurs est : Y a-t-il une place pour chaque élève en tant qu'individualité ou doit il se réformer au moule de l'enseignement ? [...]
[...] Ils ne sont pas reconnus. L'idée vue précédemment fait déboucher/ notre réflexion sur une nouvelle question : les élèves doivent ils suivre le cursus traditionnel quitte à être dans des cadres formalisés et peu adaptés ou doivent-ils choisir une autre voie, celle de l'autodidaxie? Dans l'utopique division de Condorcet, son modèle est la solution pour chaque élève, enfant/ ou adulte car selon lui l'éducation doit savoir former tous les hommes et les perfectionner tout au long de leurs vies. Les adultes doivent acquérir de nouvelles connaissances car sans entrainement leurs esprits perdraient de leur force. [...]
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