SES Sciences Économiques et Sociales, Grand oral, criminalité, déviance, tueur en série, serial killer, théorie de fondement biologique du crime, théorie du passage à l'acte, psychologie criminelle
Ce document est un sujet complet rédigé du Grand Oral SES : En quoi la société contribue-t-elle à la déviance des tueurs en série ?
[...] Il existe alors, dans certains cas, comme on vient de le voir, des prédispositions génétiques qui influencent le niveau de déviance d'un individu dès le plus jeune âge. De ce fait, si on combine plusieurs facteurs, comme ces prédispositions génétiques, qu'on y rajoute des traumatismes vécus lors de la socialisation primaire ou bien des séquelles d'un choc psychologique, on peut alors en déduire que certains individus ont beaucoup plus de chances de devenir des criminels voir des tueurs en série. Du côté de la sociologie, la déviance est un comportement de non-respect des normes sociales ou juridiques qui est sanctionné par la société ou par la loi. [...]
[...] Le rôle de la société dans la déviance des individus est expliqué par le fait que l'existence de normes produit de façon automatique des actes considérés comme hors normes et donc déviants. Un premier acte déviant peut alors conduire à un processus d'étiquetage : c'est à dire que la personne est désignée comme déviante et peut être identifiée surtout par rapport à sa déviance comme si c'était un trait de caractère. Elle risque alors d'entrer dans une carrière déviante, ce qui modifie sa place dans la société et ses relations avec les autres. [...]
[...] Par ex, le tueur en série Ed Kumper est un géant de 2m10 et 130kilos. Il se caractérise aussi par sa schizophrénie paranoïde et son QI de 140 qui l'ont conduit a tué au total 10 personnes dont sa propre mère en vue d'un attrait de voir ses victimes se soumettre à lui en les violant et les égorgeant : ce dernier a notamment inspiré en partie le personnage d'Hannibal Lecter En conséquence, un suivi psychologique des personnes ayant déjà dévié ou étant potentiellement déviantes est très important pour limiter les crimes et sauver de potentielles victimes. [...]
[...] En quoi la société contribue-t-elle à la déviance des tueurs en série ? - Grand Oral J'ai depuis toujours été intriguée par les séries policières et les affaires criminels. Avant que vous me perceviez comme une psychopathe? je pourrais expliquer cet intérêt de par ma volonté à comprendre les actions inhumaines et effroyables d'individus qui ressemblent malgré tout à des êtres humains tout comme vous et moi Pour commencer, je vais définir ce qu'est un serial killer ou un tueur en série. [...]
[...] Il s'agirait alors de se demander : En quoi la société contribue-t-elle à la déviance des tueurs en série ? Premièrement, Il importe de savoir qu'un psychologue britannique, Adrian Raine, qui est aujourd'hui professeur en psychologie criminelle aux États-Unis, a partagé sa théorie de fondement biologique du crime. Ses recherches sur les cerveaux de criminels l'amènent à observer que le cortex préfrontal, impliqué dans l'attention et la vigilance, est faiblement activé chez les criminels, en comparaison à des personnes n'ayant pas commis de crimes. [...]
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