Mythologie, analyse verticale, méthodes d'analyse, rationnels, XVIIIe siècle, étude qualitative, étude quantitative, méthodologie de recherche, bête du Gévaudan, véracité, théories, validité externe, répondants, profil des victimes, analyse horizontale, sensibilité aux mythes, superstition, loup-garou, attaques, validité interne, complotiste, ovnis, romans fantastiques, romans policiers, journalisme, surnaturel, donnée descriptive, donnée corrélée, causalité
L'étude que nous menons aujourd'hui porte sur la légende de la bête du Gévaudan. Cette légende a eu lieu au cours du XVIIIe siècle, au coeur de l'Auvergne. La mise en place de cette légende a eu lieu suite à l'agression d'une femme, qui gardait ses troupeaux, par une bête ressemblant à un loup, mais beaucoup plus imposante encore, accompagnée d'une mâchoire dotée d'une force extrême. À la suite de cette agression, les morts se sont enchaînées, dépassant même les 100 victimes. Les habitants d'Auvergne ont tenté en vain d'abattre la bête, mais sans succès, celle-ci faisant de nouvelles victimes à chaque fois. La légende alors commençait, on parlait d'homme et de bête en même temps, les suppositions commençaient à se créer. Le sujet a alors pris de l'ampleur et s'est développé dans le monde entier, de génération en génération.
[...] Ils sont d'accord sur principalement deux régions de France. Premièrement, la région du Massif central participants) ou alors la région du Languedoc plus précisément le département de la Lozère ou même encore le village de Langogne situé dans ce département participants). Parmi toutes les réponses, on constate que pour la majorité des personnes, l'histoire de la bête du Gévaudan est un loup ou bien d'un loup-garou qui vit dans la forêt et qui attaque, tue ou fait disparaître des humains de profils différents (homme, femme, enfant) pendant la nuit. [...]
[...] À noter que toutes les personnes aiment lire. Aucun des répondants ne croit au surnaturel. David et Jacky ont indiqué à la question sur le surnaturel « non », car ils n'y croient pas et Jacky en plus, indiqué « non, ce sont des faits qui ont été amplifiés, racontés, déformés ». Delphine et David sont sensibles aux légendes et aux mythes. Delphine a indiqué y être sensible parce que ça « relève des traditions d'un pays et de la psychologie » et David a souligné son intérêt par un simple « oui ». [...]
[...] L'étude quantitative est basée sur l'étude d'une population mère. Elle vise une partie d'individus à comparer à une plus large cible d'individus. Celle-ci va se diviser en trois parties : La présentation de données descriptives, celle de données potentiellement corrélées et enfin la présentation de données pouvant être liées par des liens de causalités. De plus, pour qu'une étude quantitative soit complète, elle doit respecter deux autres critères, tout d'abord la validité interne et externe de l'étude. Pour la validité interne de l'étude, celle-ci doit s'appuyer sur la construction du questionnaire en interne avec la mise en place de questions réfléchies et pertinentes, permettant de répondre à la problématique posée. [...]
[...] Ils pensent également que les attaques viennent d'un loup ou bien d'un loup-garou qui vit dans la forêt et qui attaque, tuent ou font disparaître des humains de profils différents (homme, femme, enfant) pendant la nuit. Les participants ne croient pas en cette légende, ils pensent qu'il s'agit simplement d'une légende issue de l'imaginaire ou alors d'attaques de loup. Ensuite, ils estiment que la légende fut inventée pour faire peur aux enfants ou alors qu'il s'agit d'une histoire vraie, mais qui a été détournée, transformée et extrapolée. [...]
[...] Il y a également la méthode de l'observation. Celle-ci se divise également en deux parties, immersives ou non. En ce qui concerne l'observation participante, celle-ci est utilisée lors de l'étude d'une communauté afin de rentrer en immersion totale et comprendre le sens du problème. Pour l'observation non participante, celle-ci est davantage portée sur le doute, cette méthode est utilisée lorsque l'observateur ne connaît pas encore assez en détail le sujet et préfère analyser les doutes qu'il a. Enfin, il existe la netnographie : cette méthode vise à utiliser un tiers pour répondre à une problématique telle que l'utilisation d'internet avec les communautés virtuelles. [...]
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