Effets de la Covid-19, travail, sociologie du changement, réflexion, construction d'un mémoire, environnement professionnel, conditions de travail, pandémie, big data, intelligence artificielle, connaissance, confinements
La portée de la crise sanitaire a été pour moi le point de ma réflexion concernant mon mémoire. En effet, mon stage effectué au sein d'une société de services qui propose la création et la gestion d'applications web et des sites web a été considérablement influencé par les impératifs dus à la lutte contre la Covid-19 dans l'environnement professionnel. En effet, mon quotidien a été aménagé pour répondre à la fois à ma demande de formation tout en permettant à chacun de s'épanouir face à la progression du virus.
[...] En fait, les êtres humains sont confrontés à divers défis. Ils doivent se préparer à la société de la connaissance, c'est-à-dire à la capacité de s'adapter à un environnement fluide et en constante évolution. Il s'agit de contribuer à ouvrir l'esprit des personnes et des organisations, à les rendre plus flexibles et à les immuniser contre le sentiment de malaise que peut provoquer l'évolution et les changements constants de l'environnement. Il est de plus en plus facile d'accéder à toutes sortes d'informations, mais justement, l'abondance des données dont nous disposons qu'il nous est difficile de sélectionner les informations les plus appropriées dans chaque cas. [...]
[...] Une approche combinant connaissances et développement des capacités et technologies Dans la période post-Covid-19, nous devrons analyser et évaluer soigneusement tout cela, mais aujourd'hui nous pouvons déjà affirmer que nous avons besoin non seulement d'une recherche scientifique et technique orientée vers des objectifs spécifiques, mais qu'il est nécessaire que cette génération de connaissances soit interdisciplinaire. Seule une approche qui combine les connaissances avec le développement des capacités, des techniques, des technologies et des approches d'autres disciplines garantira le succès afin d'être préparée aux problèmes de ces caractéristiques qui se répéteront à l'avenir. Selon certains auteurs, l'école devrait exercer une fonction de médiation qui aide à la construction de l'esprit de la personne. [...]
[...] En pleine crise, les technologies de traitement des big data, l'intelligence artificielle, le génie génétique et les technologies de communication sont devenus les outils les plus puissants pour faire face à cette situation, mais d'autres domaines de connaissance plus éloignés des précédents, comme l'habillement ou la fabrication, se sont également révélés pertinents. Et nous apprenons, comme cela se passe dans les grandes crises, à différencier l'essentiel du superficiel, après avoir reconnu nos faiblesses et nos forces. C'est dans ce contexte qu'intervient une redéfinition de la société de la connaissance. Il s'agit d'une société qui considère la connaissance comme un atout fondamental pour le progrès et qui concentre ses efforts pour permettre à tous de l'enrichir, de la diffuser et de l'échanger. [...]
[...] L'agenda mondial sera réorganisé après cette pandémie et nous devrons générer des connaissances et des innovations plus nombreuses et de meilleure qualité qui favoriseront la création de nouveaux emplois, la gestion durable des ressources et une société plus équitable. Nous construisons une nouvelle réalité dans laquelle le paradigme déjà défini par certains auteurs sera numérique par défaut contre numérique par exception et, dans le cas spécifique de l'éducation, la nouvelle normalité nous conduira à un nouveau modèle d'éducation hybride, dans lequel l'éducation en ligne jouera un rôle de plus en plus important. C'est pourquoi j'ai décidé de m'intéresser ici aux multiples effets du Covid-19 au travail et sur la sociologie du changement dû à ce dernier. [...]
[...] C'est lorsqu'ils approfondissent leurs notions, apprennent de leurs erreurs, raisonnent sur ce qu'ils ont appris, échangent leurs expériences les uns avec les autres et développent de bonnes pratiques qu'ils progressent. Ce sont précisément les fondements de la société de la connaissance, qui implique une transformation sociale importante et significative. Ces changements ont une incidence sur l'éducation, en particulier sur l'augmentation de la capacité à diffuser, assimiler et conserver les connaissances et le savoir-faire. Étant donné que je travaille dans une société à service qui propose la création et la gestion d'application, on pourrait dire qu'on a besoin d'ingénieurs qualifiés qui ont une connaissance plus ou moins riche et que cette dernière peut être transmise ou modifiée d'une personne à l'autre. [...]
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