Communiquer, c'est échanger des messages, établir une relation et s'intéresser à la personne et pas seulement au message (surtout si l'on veut être performant). L'écoute active est la source d'une bonne communication car elle permet à l'autre de s'exprimer réellement. Cependant, elle est très difficile à mettre en pratique. Après la guerre des Etats-Unis, la relation entre l'Homme et le travail évolue. La communication est ainsi introduite par Carl Rogers.
Pour approfondir notre analyse, nous allons nous baser sur les différentes catégories du test de Michael Porter et voir leurs points positifs et négatifs. Tout d'abord, grâce au TD, nous avons constaté que nos réponses vont être différentes selon les cas et les intonations de l'interlocuteur. Il y a aussi différents autres caractères qui rentrent en jeu : ce qu'on a vécu, selon notre métier, nos études, notre position hiérarchique, notre sexe, notre humeur du moment, notre relation avec la personne, notre émotion, nos préjugés, notre culture. Ensuite, nous avons fait un tableau récapitulatif des différentes attitudes de Porter (...)
[...] Par exemple, un parent normatif va chercher l'enfant adapté et va le trouver Transaction croisée 3. Transaction cachée Le deuxième test portait sur les messages contraignants. Ceux-ci proviennent des contraintes de nos parents. Certaines sont passées sans influence alors que d'autres nous ont construits. Nous avons récapitulé dans un tableau les atouts et les pièges de chaque catégorie. Avec ce tableau, nous pouvons constater que certains couples peuvent être assez difficiles à mettre ensemble comme Fais plaisir et Sois fort ou encore Dépêche toi et sois parfait. [...]
[...] Après la guerre des Etats-Unis, la relation entre l'Homme et le travail évolue. La communication est ainsi introduite par Carl Rogers. Pour approfondir notre analyse, nous allons nous baser sur les différentes catégories du test de Michael Porter et voir leurs points positifs et négatifs. Tout d'abord, grâce au TD, nous avons constaté que nos réponses vont être différentes selon les cas et les intonations de l'interlocuteur. Il y a aussi différents autres caractères qui rentrent en jeu : ce qu'on a vécu, selon notre métier, nos études, notre position hiérarchique, notre sexe, notre humeur du moment, notre relation avec la personne, notre émotion, nos préjugés, notre culture. [...]
[...] C'est l'une des clés pour améliorer la communication. Mais comment la mettre en place ? Tout d'abord, l'empathie est un processus où il faut mettre ses références de coté pour se concentrer sur la manière dont la personne en face comprend la réalité. Pour cela, il ne faut pas hésiter à exprimer à la personne concernée ou son interlocuteur la façon dont on comprend ce qu'il ressent et ce qu'il veut vraiment. Pour cela, on utilisera notamment la reformulation ou l'écho vu ci-dessus. [...]
[...] Nous avons analysé après cela le concept d'empathie introduit par Carl Rogers. L'empathie est la capacité que je vais avoir à me mettre à la place de l'autre pour comprendre ce qu'il ressent. Cela ne veut pas dire excuser l'autre ce qui se rapprocherait plus de la sympathie. Pour éclaircir cela, nous avons dressé deux axes : Finalement, nous avons abordé le système de perches Celui-ci peut être illustré par un exemple. Deux personnes se rencontrent dans le RER. L'une demande Ou es tu allé en vacances ? [...]
[...] II/ L'analyse transactionnelle. L'analyse transactionnelle est créée dans les années 50 (après guerre) par Eric Berner (autrichien émigré aux Etats-Unis). Celui-ci voulait avait pour ambition de transmettre un modèle pour expliquer les interactions entre les personnes et de créer une méthode de suivi pour les malades psychologiques. L'analyse transactionnelle est très en vogue dans les années 90 et perdure encore dans les entreprises. Pour expliquer ce thème, nous nous sommes basés sur 3 tests. Le premier test est le stratétogramme. [...]
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