Le travail est omniprésent dans la vie de chacun et peut prendre différents aspects. N'est-il pour l'homme qu'un esclavage, qu'une souffrance, comme pourrait le laisser entendre son étymologie : Travail, issu du latin tripaliare : tourmenter, torturer.
Cette question se pose depuis des siècles et de nombreux philosophes ont tâché d'apporter leurs éclairages.
Le travail n'est-il que servitude, ou peut-il conduire vers d'autres horizons ? Nous aussi, nous nous interrogerons nous appuyant, pour répondre, sur des exemples de notre quotidiens et nos lectures.
[...] Nous aussi nous nous interrogerons nous appuyant, pour répondre, sur des exemples de notre quotidiens et nos lectures Si l'idéal Romain est celui d'une société de loisir où tout travail est exclu ; le travail de l'esclave n'en demeure pas moins ! En effet, l'esclave n'est que travail. Il n'est pas considéré par la société comme un homme mais comme un outil Il est ramené au rang d'objet. Sa vie n'a de sens que par le travail qu'il fourni. Il apparaît là clairement que le travail est que servitude en son acception la plus large. Cette vision change avec l'apparition de la dignification du travail. [...]
[...] Aujourd'hui la servitude demeure à moindre effet, mais sous une autre forme, grâce aux technologies nouvelles. L' ère de la communication change la donne. Téléphones portables, Internet Il n'y a plus un lieu consacré au travail Ces outils nous permettent de travailler tout le temps, où que l'on soit. L'homme dépend de son travail qui dépend de lui ! Les traders accroché à leurs téléphones, examinant toutes les minutes le cour de la bourses sont l'exemple même de cette soumission de l'homme face au travail. [...]
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