Recherche de fait, ville de Trappes, Mickaël Khiri, échauffourées, contrôle d'identité
Le 19 juillet 2013, des échauffourées ont éclaté dans les Yvelines, notamment dans la ville de Trappes se situant en région Île-de-France (IDF). Quelle est la nature de cet événement ? Ce soir-là, des policiers effectuaient une ronde, qu'ils réalisaient quotidiennement pour la sécurité des riverains. Cependant, à ce moment, ils croisent un jeune couple tous deux âgés d'une vingtaine d'années qui se prénomment Cassandra Belin et Mickaël Khiri et procèdent à un contrôle d'identité puisque le visage de la jeune fille est dissimulé sous un voile qui conformément à la loi de 2011 signée par François Fillon dit : « nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage ». Cependant, le jeune homme refuse que ce contrôle soit effectué par les forces de la police qui trouve celui-ci inacceptable, ce refus de coopérer à la demande des policiers, il est donc arrêté et emmené au commissariat.
[...] Et pour finir, Mickaël Khiri en septembre est passer au devant de la justice et sa sentence est de trois de mois de prison avec sursis et une amende de 1000€. Pour se qui est des autres arrestations lors de cette agitation ont été jugés par le tribunal correctionnel en comparution immédiate et trois jeunes ont été condamnés à des peines de dix mois ferme et de 6 mois de sursis et deux autres ont été relaxés. Avec ce fait ; on en arrive à se poser des questions, comment un tel petit incident peut-il prendre autant d'importance ? [...]
[...] De l'autre, a priori selon le témoignage de témoins, dise que le contrôle envers le couple aurait été musclé. Mais se litige, est présent pareillement dans le monde politique, qui accuse le gouvernement de manquer de fermeté que se soit en matière de sécurité et le fait de minimiser les faits. En conséquence, à peine quelques heures plus tard de la détention de Mickaël Khiri de nombreux adolescents qui étaient aux nombres de près de 200 à 300, ont prient connaissance de cette histoire, se sont regroupés autour du commissariat de Trappes. [...]
[...] Quelle est la nature de cet événement ? Ce soir-là, des policiers effectuaient une ronde, qu'ils réalisaient quotidiennement pour la sécurité des riverains. Cependant, à ce moment, ils croisent un jeune couple tous deux âgés d'une vingtaine d'années qui se prénomment Cassandra Belin et Mickaël Khiri et procèdent à un contrôle d'identité puisque le visage de la jeune fille est dissimulé sous un voile qui conformément à la loi de 2011 signée par François Fillon dit : nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage Cependant, le jeune homme refuse que ce contrôle soit effectué par les forces de la police qui trouve celui-ci inacceptable, ce refus de coopérer à la demande des policiers, il est donc arrêté et emmené au commissariat. [...]
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