Gastronomie chinoise, femme, société chinoise, soumission, Les Orchidées Rouges de Shanghai
Encore au 20ème siècle, la tradition voulait que la place de la femme soit réduite comparée à celle de l'homme dans la société Chinoise. En effet, les traditions étaient considérées plus importantes que les lois conférées par l'État, partant du principe fondamental que les familles fondaient la nation.
Ainsi, la femme doit se soumettre aux hommes de sa famille. Tout d'abord quand elle est enfant, elle doit respecter et obéir à son père.
[...] Il existe aussi le congee légèrement semblable à du porridge anglais, c'est une sorte de gruau de riz. L ' Masak lemak est un mélange de légumes cuits dans du lait de noix de coco avec une varitété de curcuma : le kunyit qui lui confère une couleur jaune d'heure. Il existe aussi le shabu shabu qui est une fondue de bœuf et de légumes. udon qui sont des nouilles de farine de blé épaisses et blanches. Il existe aussi un plat à base de faisan grillé mélangé à des nouilles de sarrasin froides. [...]
[...] La place de la femme dans la société chinoise Encore au 20e siècle, la tradition voulait que la place de la femme soit réduite comparée à celle de l'homme dans la société Chinoise. En effet, les traditions étaient considérées plus importantes que les lois conférées par l'État, partant du principe fondamental que les familles fondaient la nation. Ainsi, la femme doit se soumettre aux hommes de sa famille. Tout d'abord quand elle est enfant, elle doit respecter et obéir à son père. [...]
[...] De nos jours la femme en Chine possède des droits beaucoup plus ouverts, pratiquement aussi libérés que ceux de la femme occidentales. Au niveau légal les droits sont les mêmes mais la Chine est un pays respectant énormément les traditions. La Gastronomie chinoise C'est durant cette triste période de l'histoire chinoise qu'est née ce qu'on appelle aujourd'hui la gastronomie cantonaise. A travers le livre nous découvrons quelques recettes typiques de l'époque nées d'un métissage entre les recettes coréennes, chinoises et japonaises. [...]
[...] De plus, l'homme infidèle n'est pas puni et la femme ferme les yeux sur son attitude. Cependant, lorsque la femme est mariée elle n'appartient plus à sa famille mais à sa belle famille, car le mariage est comme une sorte d'offrande d'un père à un gendre. A cette époque le divorce est quasiment impossible, le seul moyen de se séparer de l'époux pour la femme est en cas de mauvais comportement de la femme envers sa belle-famille ou dans le cas ou elle ne donnait pas naissance à un seul garçon, elle pouvait être répudiée. [...]
[...] En effet, la femme est la plupart du temps constamment au domicile, s'occupant des tâches ménagères et de l'éducation des enfants. Le mariage est rarement un mariage d'amour à cette époque là, les jeunes filles sont souvent mariées par arrangement, parfois financier établis par leurs pères. Ainsi, la femme n'a pas son mot à dire dans les décisions prises au sein du domicile, elle met juste en œuvre les directives du mari, comme par exemple dans le livre, lorsque le père de Sangmi décide qu'ils devront pratiquer la langue japonaise chez eux, son épouse est en désaccord mais n'a pas le droit de donner ou d'imposer son opinion. [...]
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