Philosophie de l'éducation, société contemporaine, moralité, violence sociale, violence légitime, place de la religion, démocratie, innovations contemporaines, éthique, sécularisation, délocalisation du travail, globalisation
La violence est un phénomène social des sociétés contemporaines. La violence est un choix moral avant d'être une action. On peut remarquer que ceux qui réprimandent ou nous protègent de la violence en usent également (police, parents…). On nous apprend dès tout petit que la violence est mal et doit être supprimée de notre système. La violence dans la société prend de nombreuses formes différentes. Est-ce une liberté ou une contrainte de vivre dans une société ? Est-ce que les lois nous oppressent ou nous libèrent ? Le désir propre à l'humain provoque de la violence.
[...] De par la globalisation, on observe entre autre une délocalisation du travail. Automatisation des tâches, remplacement de l'humain par la machine. Génère de l'inquiétude, du désespoir. Pose des questions profondes comme pourquoi travail-t-on ? Pourquoi l'humain peut générer quelque chose de plus ou moins qualitatif ? On ne peut pas programmer un humain pour qu'il fasse exactement ce que l'on veut. La population ne cesse d'augmenter donc un jour il n'y aura plus assez de travail pour tout le monde. [...]
[...] C'est la violence conduite par les religions comme les guerres ou les tueries des extrémistes qui nous pousse à faire ça. On a pu sortir des guerres grâce à la rationalisation des conduites. Le lien entre religion et démocratie ferait bien d'évoluer. Quelle éducation pour un monde qui se globalise ? La globalisation revient à l'uniformisation. Monde d'interconnexion et d'interdépendance. Il va falloir former des citoyens capables d'affronter les enjeux de demain. Grâce à la globalisation, beaucoup d'évolutions notamment pour les TIC. Il faut s'adapter à la modernité sinon difficile de suivre le pas. [...]
[...] Quelle formation doit-on donner aux gens ? Avec l'automatisation, plus de temps de loisir pour soi. Envisager le partage du travail pour moins de chômage. Ne pas bloquer l'arrivée de l'automatisation mais plutôt penser aux moyens de s'adapter. De la création du travail jusqu'à maintenant, l'homme s'est réinventer et a fait évoluer ses techniques de production pour être plus efficace. Les machines ont été créées pour remplacer l'homme dans les travaux plus physique. Le travail change alors, on apprend plus à gérer et contrôler les machines qu'à faire le travail de la machine. [...]
[...] Peut-on substituer l'innovation au progrès ? Conséquentialisme : construction d'un raisonnement en fonction d'une fin. L'éthique dans les choix d'innovation et dans les pratiques de management. Les nouvelles technologies offrent des possibilités d'innovations infinies, le meilleur comme le pire peut donc être envisagé. I faut réfléchir au sens qu'on va donner aux inventions. Dans l'innovation de rupture on invente d'abord puis des personnes se chargent de l'innovation. On invente sans savoir la véritable utilité future de l'objet. Cela permet de se poser de nombreuses questions, de créer un débat sur cette innovation possible et donc d'en rechercher les principes moraux. [...]
[...] (Violence a permis des changements dans la société, elle est partout dans l'histoire (Rév°, guerres). Mais même après les changements faits, la violence est toujours présente. La violence humaine est consciente, sociale et politique. Violence légitime et violence illégitime dans la société. La légitimation de la violence passe par ceux qui font cette violence (Hitler a rendu son pouvoir légitime pour les gens qui l'ont subi et accepté). Paradoxe observé : la violence populaire est déclarée illégitime par un pouvoir légitimé par le peuple (état). Le spectacle de la violence nous fascine. [...]
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