Au Maroc comme partout dans le monde nombreux sont ceux qui à un moment donné de leur vie ont pratiqué ou subi un châtiment corporel quelconque. Certaines personnes plus au moins désignées comme sadiques ou encore masochistes en sont malades. Il est également connu qu'une majorité des parents voient en ce genre de pratiques une méthode éducative très efficace. Mais alors, le châtiment corporel est il vraiment un procédé d'éducation ? Dans notre pays, est-il vraiment approuvé par la loi juridique ? (...)
[...] Il est également connu qu'une majorité des parents voient en ce genre de pratiques une méthode éducative très efficace. Mais alors, le châtiment corporel est il vraiment un procédé d'éducation ? Dans notre pays, est-il vraiment approuvé par la loi juridique ? L'enfant tant qu'on le nommera ainsi restera une personne mineur, innocente et avide de nouvelle connaissance, par conséquent, il restera toujours apte à commettre des fautes allant de la bêtise à l'erreur et même à l'acte de délinquance juvénile. [...]
[...] D'autant plus que punir le jeune élève pour le pousser à travailler ne fera germer en lui que de la répugnance et de la colère à l'égard du professeur, l'école et du travail en général. Aussi, la violence génère la violence, et faire de l'enfant un délinquant un peu plutard. De ces faits, le châtiment corporel est loin d'être une méthode éducative adaptée. Juridiquement parlant, la tradition de la société marocaine donne aux pères et mères le droit d'exercer des châtiments corporels à leur enfant, pourvu que ces châtiments ne dépassent pas la mesure et la cadence raisonnable. [...]
[...] Moi de me conté je reste convaincu que la manière la plus adapté pour éduquer un enfant ou un élève c'est d'être calme, de punir intelligemment et à dessin de faire peur et non de nuire, il faut aussi s'avoir que faire de son enfant adolescent son ami est le meilleur procédé pour communiquer avec et lui faire parvenir les conseils qui le guideront au long d'un droit chemin. Néanmoins je reste tout aussi persuadé que certains adolescents ne sauraient être disciplinés sans être châtiés corporel ment. [...]
[...] Mais cela n'exclu point le fait que le bambin pourrait aussi accidentellement créer du tapage. En grandissant, les problèmes engendrés par l'enfant deviennent de plus en sérieux du moment qu'il intègre l'école, car cette fois ci, le choix pour le grand bêtisier devient plus large et s'illustre par l'école buissonnière, ne point se soucier de la scolarisation ou encore se faire de mauvais amis. Notre enfant devenu maintenant adolescent ou adolescente commence à plaindre ses parents et veut s'imposer ainsi que prouver aux autres comme à lui-même qu'il a grandit, pour cela il commence à voler les siens pour se faire de l'argent, n'accepte plus les conseils, se bagarre le plus souvent ,utilise un langage des plus désagréable et veut sortir le soir des fois la nuit comme un adulte; Et bien que l'adolescence soit une période passagère, le cas du juvénile pourrait se corser se traduire par une délinquance. [...]
[...] Ainsi arrivons-nous à la malheureuse conclusion que la conception d'une éducation fondée sur le châtiment corporel est prédominante chez nous. Pour ainsi dire que pour moi, recourir à la violence à chaque fois est un procédé de dressage et non de correction. Battre sa fille jusqu'à l'agonie pour avoir eu contact avec un homme ne pourrait être qualifié comme éducation mais comme homicide. Quand le père, la mère ou l'éducateur se donne le droit de châtier corporellement l'enfant, n'est il pas prouvé psychologiquement que cela avili le donneur et le récepteur, et que cela risquerait de dresser une barrière même définitive entre parents et enfants. [...]
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