modernité, Humanisme, citoyenneté en France, modèle républicain, remises en question de ce modèle
La modernité est apparue grâce au progrès, aux nouvelles techniques et la découverte du Nouveau Monde en 1492. Les grandes découvertes restructurent les rapports du monde à l'environnement. Les Européens découvrent que d'autres personnes vivent avec des modes d'organisation sociale différents : les indigènes du Nouveau Monde. Les Européens ont de plus une conviction d'être une civilisation supérieure, selon eux leur société est unique et représente un ordre naturel et immuable. Selon les sociétés occidentales très christianisées, il s'agit d'un plan divin. Les Européens découvrent alors que l'on peut s'organiser autrement. Une interrogation nait alors sur le fait de s'organiser : la politique ou le projet de vivre ensemble. D'où l'idée d'utopie. En France, cette idée d'une organisation sociale différente et d'une créativité possible de l'organisation humaine donnera naissance à la Révolution française.
[...] Chapitre 1 : Introduction à la modernité. L'objectif de ce cours est de comprendre le contexte général qui a entouré la naissance de la sociologie. Nécessité de connaître le processus de la modernité. Comment un besoin de cette discipline est né ? I. Le paradigme de la modernité. Paradigme = Ensemble de convictions, de questions ou de dogmes acceptés et partagés par une communauté scientifique à un moment donné. (Selon Jean Baudrillard) L'émergence de la modernité 1. Les grandes découvertes. [...]
[...] Le sexe n'est pas une différence privée mais un invariant anthropologique ce qui la porte à la sphère publique. La loi sur la parité est accueillie négativement car elle remet en cause ce modèle La discrimination liée aux origines ethniques L'intégration sociale, se fait par assimilation d'une culture, de valeurs différentes. La discrimination liée aux origines ethniques est une réalité sociale. Nicolas Sarkozy durant son mandat pris en compte les discriminations propres aux origines ethniques. Cette discrimination persistante remet en cause le modèle républicain. Conclusion : Sommes-nous encore en modernité ? [...]
[...] La raison humaine a donc un rôle prédominant ainsi que l'usage rationnel et raisonnable de la raison La raison permet le progrès Selon Pierre-André Taguieff dans son œuvre Le Sens du progrès certains peuple sont restés dans la nature car moins civilisés. Les européens ont confiance dans le progrès : plus on a de connaissances mieux on vit. Le progrès a des vertus positives. Aucune réflexion n'existe sur les conséquences négatives du progrès (seconde guerre mondiale l'homme constate qu'il est en mesure de s'auto détruire). [...]
[...] Les Européens pensent que les civilisations se développent de plus en plus vite. La modernité est basée sur des progrès. La société idéale doit arriver avec les évolutions techniques et intellectuelles. Actuellement notre société remet en question cette évolution. Les trois critères de la modernité Le plan technico-économique Le rapport a la nature se modifie, désormais la nature n'est plus le reflet de l'harmonie voulue par Dieu. Durant l'Antiquité il fallait comprendre la nature pour essayer de la reproduire car incarnation de la perfection, matrice et modèle de la société. [...]
[...] L'heure est alors à la critique de ce qui relève de la religion, et la démonstration que l'homme est autonome du divin. La modernité s'oppose à la religion, s'en émancipe. L'enjeu pour les philosophe des Lumières et de démontrer l'autonomie intellectuelle de l'homme. Pour la plupart des philosophes l'homme a un usage de la raison qui permet d'aller vers l'autonomie. La mentalité moderne : l'Humanisme Centralité de l'Homme La vision de l'origine de la société est bouleversée. Des intérêts plus importants sont portés à l'humain. [...]
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