Vie productive, vie contemporaine, communication, publicité, groupe social
Dans le chapitre sur le langage et la communication, nous avons vu que la publicité véhiculait un message erroné par ses critères. Elle nous donne une fausse impression de ce que doit être la vie et va jusqu'à influencer le comportement du grand publique, de la population.
En effet, comme la publicité est partout, nous sommes influencés dans nos modes de pensées et dans nos actes même si nous sommes très, voire extrêmement vigilants. Elle nous donne une vision de l'existence d'abord basée sur les biens matériels qui servent à affirmer sa richesse et son standing, son mode de vie.
[...] Ces critères génèrent le rejet par la société de ceux qui ne les présentent pas. Une personne voulant postuler pour un emploi ne présentant pas ces critères aura beaucoup plus de difficulté à être embauchée qu'une personne étant jeune, jolie et en bonne santé. Ces critères sont tellement ancrés dans notre société qu'il a fallut établir des lois pour que les employeurs embauchent des personnes handicapés ou dépressives par exemple. Nous voyons souvent sur des publicités (comme celle pour Mercedes par exemple, que l'on a vue en classe) que les personnes représentées par ces dernières sont fréquemment des personnes soit en pleine action qui sont trop occupés pour prendre du temps pour eux et qui donc représentent ces critères de norme soit des stéréotypes de cadres dans une société qui eux représentent les acheteurs potentiels. [...]
[...] L'idéologie de la vie contemporaine entretient l'illusion d'une vie éternellement productive Dans le chapitre sur le langage et la communication nous avons vu que la publicité véhiculait un message erroné par ses critères. Elle nous donne une fausse impression de ce que doit être la vie et va jusqu'à influencer le comportement du grand publique, de la population. En effet, comme la publicité est partout, nous sommes influencés dans nos modes de pensées et dans nos actes même si nous sommes très, voire extrêmement vigilants. [...]
[...] Même dans certaines publicités que traitent des obsèques, il n'y a que des seniors actifs, bronzés, à l'allure jeune. On essaye de nous faire croire que la vieillesse c'est ça. Il y a dans notre société, un dénie de la vieillesse et de la mort qui frise le ridicule. A cause de tous ces critères et ces publicités nous sommes formatés à voir la production, le travail comme la clef d'une vie réussie, une vie consacrée au professionnel et non au sentimental ou au familial. On peut donc dire que la publicité entretient l'idéologie d'une vie éternellement productive. [...]
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