titre départemental, influence éditoriale, identité résistante, quotidien supra-régional, tendance opposée
Le Poitou-Charentes ne possède plus qu'un titre à dimension purement départementale, Centre-Presse auquel on peut ajouter la Charente libre
La région subit au nord l'influence éditoriale de Tours et au sud celle d'une presse aquitaine toute puissante dans les charentes à travers Sud-Ouest ou via La Charente Libre
Dans les deux-sèvres, la presse angevine dispute la première place à la presse tourangelle à travers Le Courrier de l'Ouest
Le Libre Poitou préexista à Centre-Presse. Son titre avait repris celui d'un journal résistant et ses moyens techniques avaient auparavant apartenu à deux autres quotidiens interdits à la libération
[...] Quelques siècles de l'histoire de la presse dans le département de la Vienne et du Poitou Charente : Le Poitou-Charentes ne possède plus qu'un titre à dimension purement départementale, Centre-Presse auquel on peut ajouter la Charente libre La région subit au nord l'influence éditoriale de Tours et au sud celle d'une presse aquitaine toute puissante dans les charentes à travers Sud- Ouest ou via La Charente Libre Dans les deux-sèvres, la presse angevine dispute la première place à la presse tourangelle à travers Le Courrier de l'Ouest Le Libre Poitou préexista à Centre-Presse. [...]
[...] En 1928, il imprime même à Tours une édition pour l'Indre et Loire Devenu Centre et Ouest, il est lu à Poitiers, Tours et Limodes Plus à gauche l'Avenir qui se veut républicain : A l'origine de l'Avenir, le Journal de la Vienne héritier des Affiches de Poitiers qui rayonnaient vers les Deux-Sèvres et la Vendée Puis viens La Vienne, devenu l'Avenir de la Vienne et des Départements limitrophes en novembre 1876 Le quotidien prend le nom de L'Avenir de la Vienne et des Deux-Sèvres, puis s'intitule à nouveau L'Avenir de la Vienne Une équipe partiellement novice, recrutée par cooptation individuelle : Pour le premier la rédaction du Libre Poitou était composé de huit personnes : Henri Viaux, Guy Tartarin, René Pageot, Roger Biais, Louis- Charles Debelle Une équipe formée de connaissances, la plupart sans qualification au métier de journaliste. Seuls trois journalistes avaient participé à la lutte clandestines, Guy Tartarin, René Pageot et Roger Biais Une équipe formée sur le tas : Il n'existait aucun critère particulier de recrutement, mis à part celui de savoir rédiger et d'avoir touché du doigt la profession au point de savoir traiter l'information Un certain style peur faire la différence : Ceux que les journalistes du premier Libre Poitou perdraient en capital culturel, ils le compenseront en proximité, en spontanéité d'écriture. [...]
[...] Ce serait la marque de fabrique du journal. [...]
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