évolution, notion, hygiène, linge, toilette
Au Moyen âge, les gens possèdent très peu de linge de rechange. Chez les paysans on trouve 2 chemises dont celle qu'ils ont sur eux. La présence de maladie comme la gale, les poux sont acceptés. Pour eux c'est le corps qui fonctionne mal. Ils ne font pas de lien entre maladie de peau et propreté. Pour eux les maladies viennent de l'intérieur du corps. Ils font des purges, des saignées pour se soigner. Ils se lavent que ce que l'on voit : les mains et le visage. Ils ne se lavent pas, pas pour des raisons d'hygiène mais pour des raisons de morale, pour l'apparence.
[...] L'évolution de la notion d'hygiène. Il existe 3 ressources de données : - Les témoignages. - Les inventaires après décès. - Les travaux d'historiens. Le linge et la toilette. Au Moyen âge, les gens possèdent très peu de linge de rechange. Chez les paysans on trouve 2 chemises dont celle qu'ils ont sur eux. La présence de maladie comme la gale, les poux sont acceptés. Pour eux c'est le corps qui fonctionne mal. Ils ne font pas de lien entre maladie de peau et propreté. [...]
[...] Qu'est ce que mon corps me dit ? C'est ce qui apparaît après la seconde guerre mondiale. On devient responsable de notre corps, de notre santé, de nous même donc on doit comprendre les signes de notre corps. Exemple de signe : le taux de sucre, de cholestérol. L'individu interroge les signes et il est responsable de son corps. Il y a une diffusion dans le grand public des instruments médicaux. Il y a de l'auto contrôle. On s'interprète en permanence. On a l'image d'un corps informatisé. [...]
[...] À paris, on développe les bains publics qui concernent toutes les catégories sociales. Il y a un progrès dans la médecine : la révolution Pasteurienne. Jusqu'à Pasteur on pense que la souillure et quelque chose que l'on voit. La propreté ce n'est plus ce que l'on voit. Il ne s'agit pas d'avoir la peau sans crasse pour être propre. La propreté relève de l'invisible. Les microbes ne sont pas visibles. Il ne s'agit pas d'être propre pour ne pas être malade. [...]
[...] Du coup ils vont réduire la quantité de poudre, de peur que le visage gonfle. De plus le maquillage empêche la transpiration. La base du maquillage à cette époque est minérale. On utilise la céruse, le plomb, les métaux. Comme ce sont des métaux, cela attaque la peau. Cela provoque des infections sur la peau. Et pour camoufler ces infections, ils mettent d'avantage de poudre. Les poudres ont des effets cancérigènes. Le parfum est utilisé différemment au 18ème siècle, alors qu'il était un moyen de se laver, maintenant on commence à critiquer sa fonction de camouflage. [...]
[...] Les dentelles sont blanches et parfumées. Le parfum fait office de se laver. Ils ne se lavent pas les dents, ils ont du parfum pour la bouche. Le parfum camoufle les mauvaises odeurs. Le parfum est thérapeutique, il protège de la pénétration des maladies. Ils pensent que d'empêcher de sentir des mauvaises odeurs, protége des maladies. Au 18ème siècle, le rapport à l'eau va changer. Prendre un bain devient un peu plus normal. À Versailles, on construit un réseau d'eau dans le château. [...]
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