Synthèse de 1ère ES qui répond à la problématique suivante : la société apparait de moins en moins comme une société de classe et le maintien d'un clivage entre les groupes sociaux.
[...] Cette classe est toujours là car ces codes se transmettent de génération en génération et ils respectent les traditions, bien sûr la situation n'est pas comme au 19eme siècle mais cette classe conserve ses différences. En definitive nous pouvons dire que depuis ces vingt dernieres années la société apparait de moins en moins comme une société de classe,mais ce n'est pas parceque la France connait une moyennisation qu'il n'y a plus d'inégalité entre différents groupes sociaux.En effet la classe bourgeoise a subsisté a l'instar de la classe ouvrière et elle perpétue les différences avec le reste des groupes sociaux.De plus il y aura toujours des différences plus ou moins grandes au niveau social et économique entre les différentes catégories socio - professionelles et on ne trouve pas de moyens pour encore les réduire . [...]
[...] D'autre part malgré l'effondrement de la classe ouvrière'', la classe bourgeoise est la dernière à se maintenir car elle réunit aussi bien les critères objectifs comme le niveau de patrimoine,de revenu que des critères subjectifs comme la conscience de soi, la solidarité interne.Ces critères ont fait de la classe bourgeoise une classe à part entière, c'est une" classe en soi "car elle a une place dominante dans le systeme de production mais aussi une "classe pour soi" car elle a conscience d'exister. peux donc faire une différence entre cette classe et le reste des groupes sociaux car elle a des comportement spécifiques comme des règles de vie mondaines, des codes vestimentaires et corporels distinctifs,une solidarité , etc . [...]
[...] Dm ses 1ere ES En France,sur le plan économique et social nous pouvons opposer les années avant 1980 et celles d'après cette date, en effet la représentation jusqu'alors prégnante d'une société française structurée en classes sociales s'est défaite peu à peu, les nombreuses enquêtes portant sur le monde ouvrier ont disparues au profit d'une moyennisation de la société et d'une consommation de masse.Nous verrons dans un premier temps que notre société apparaît effectivement de moins en moins comme une société de classe mais qu'un clivage se maintient entre les groupes sociaux où l'inégalité qui est toujours d'actualité de nos jours. La société française apparait en effet de moins en moins comme une société de classe pour plusieurs raisons.Tout d'abord certains groupes sociaux ont quasiment disparus comme la société paysanne,les agriculteurs ne forment plus un monde à part,ceci est notamment dû a la forte chute du nombre d'agriculteurs à cause de la mécanisation et de l'agrandissement des terrains, il n'y a plus de ''petit'' agriculteur. [...]
[...] De plus, à cause de la différences de salaires l'accès aux loisirs, à la culture,au logement est difficile pour les milieux populaires.Un fossé s'est creusé entre les communes riches et les banlieues qui accueillent des jeunes,des ouvriers et employés non qualifiés, ou encore des immigrés, ces derniers se retrouvent ''bloqués'' et n'ont souvent pas d'issues, ils cumulent les emplois précaires et n'arrivent pas à avoir une situation stable.Ils ont donc très peu d'argent pour se divertir ou partir en vacances.Souvent aussi, ils n'ont pas de moyens de locomotion car l'essence coûte chère et c'est aussi pour cette raison qu'ils ont du mal a trouver un travail, c'est une sorte de ''cercle vicieux''et ils conaissent le chômage de masse que ne connaissent pas les travailleurs qualifiés. [...]
[...] La fin de classe ouvrière renforce également cette thèse,elle a entrainé une baisse du syndicalisme ainsi qu'un recul du parti communiste .Les enfants d'ouvriers deviennent plutôt des salariés à cause de la nouvelle situation économique de la France.Avant 1980 de nombreuses enquêtes portaient sur le groupe des ouvriers et sur les luttes sociales ainsi que sur son évolution tandis que lors des vingt dernières années l'objet classes semble s'être évanoui.Les ouvriers perdent leur caractéristiques ou leur spécificités culturelles , ils ont donc un sentiment de classe sociale désormais moins marqué.On a donc assisté a une transformation profonde des univers professionnels, le salariat constitue 90% de la totalité des actifs et les anciens grands groupe sociaux ont maintenant disparus ce qui a entrainé une certaine homogénéisation des travailleurs. D'autre part nous pouvons évoquer l'individualisation qui est sans doute un vecteur de dissolution des classes.Depuis les années 80 l'individu a gagné en autonomie, avant ,ce dernier était lié de la naissance à la mort a des groupes sociaux tels que la paroisse,les syndicats,la province,la famille etc . [...]
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