A partir des années 80 à la fin des 30 Glorieuses, les inégalités économiques se font remarquer via l'ascenseur social. A ce moment là, Boudon va traiter des problèmes de stratégies sociales individuels dans la réussite scolaire. Pendant cette période, il y a eu une baisse des inégalités, suite à la hausse du pouvoir d'achat. De plus, la croissance économique a progressé, les salaires ont augmenté aussi, mais aussi l'apparition de l'Etat providence. L'Etat providence a été là pour aider les moins favorisés à s'en sortir pour donner une éducation convenable à leurs enfants. Les familles attendent beaucoup de l'école, pour continuer l'éducation des parents (...)
[...] En effet, les 10% ayant les revenus les plus élevés ont un retard scolaire à 15 ans. Ensuite dans un second temps, on va parler des inégalités de chances à l'école, comme étant influencé par d'autres inégalités. On peut trouver des inégalités au sein de la société. Dans la société de l'Ancien Régime, on avait un système de caste et d'ordres. Ce système est régit par des lois politiques et religieuses. Au sein de la société des ordres, on peut distinguer 3 catégories : le clergé, la noblesse et le Tiers-état. [...]
[...] Il y a aussi une influence au niveau des classes dites moyennes A ce niveau là, deux idées se confrontent entre Marx et Bourdieu. En effet, Marx distingue deux sortes de classes moyennes. Il y a les classes anciennes composées d'indépendants et de l'autre, les nouvelles classes moyennes qui sont surtout centrées sur la hiérarchie, et sur les revenues. De l'autre, on a Bourdieu qui nomme cette classe, la petite bourgeoisie. Il l'a découpe en 3 groupes. Premièrement, la petite bourgeoisie en déclin comprenant les artisans, les commerçants, et chef d'entreprise, suite à l'apparition du progrès technique. [...]
[...] Par conséquent, les classes sociales en matière d'éducation, la réussite jouent un rôle au sein de l'espace social et du marché du travail. Par exemple, le choix de la filière dépend principalement de sa position sociale au sein de la société. Un milieu aisé sera tourné vers la santé ou la CPGE ; pour obtenir une position élevée et la multiplicité des remèdes pour aider les élèves. Alors que les milieux populaires comme les employés ou les ouvriers, seront tournés vers les IUT et les STS, pour pouvoir aboutir plus rapidement à un métier. [...]
[...] Les inégalités économiques expliquent-elles à elles seules l'inégalité des chances à l'école ? Dans un premier temps, nous allons voir que les inégalités de chances à l'école, puis dans un second temps, les inégalités de chances à l'école peut être mises en avant par d'autres inégalités et conflits. Tout d'abord, BOUDON est dans une tradition d'individualisme méthodologique, c'est-à-dire qu'il traite des agrégations des comportements sociales individuels. Cependant, on distingue des effets pervers. Les ménages, en demandant une modification et une souplesse au niveau de l'éducation, auront une hausse des détenteurs de diplômes. [...]
[...] Les PSC qui ont vu leurs effectifs diminués : les ouvriers suites au progrès technique, qui a fait disparaître des métiers comprenant les professions libérales et cadres supérieurs. En effet avec la désindustrialisation, le chômage a augmenté pour les ouvriers en autre. Pour les employés, leurs effectifs ont progressés grâce à la mobilité intersectorielle, du secteur primaire ou secondaire ; au secteur du service. De plus on a des inégalités liées au capital des groupes sociaux. On peut voir que le capital lié au patrimoine, avec la possession de ben foncier comme le logement, ou des biens financiers comme un portefeuille compte titres, ou d'actions. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture