L'école de Chicago - publié le 16/06/2012

Thèmes abordés

École de Chicago, Albion Small, William Thomas, sociologie, interaction sociale

Résumé du document

Albion SMALL (1854 – 1926) fondateur du département sociologique à l'école de Chicago. Il crée le premier textbook, manuel pour les élèves. Il fonde la première revue de sociologie « american journal of sociology », la première au monde.
Orientation de ces recherches :
-Utilisation d'interaction sociale.
-Recherche active sur le terrain, observation directe.
-Prendre la ville de Chicago comme terrain et objet de recherche.
L'école s'est spécialisée dans l'étude des différentes communautés de la ville et les relations qu'elles entretiennent entre elles.

Extraits

[...] 3ème cercle, ouvriers installé, déjà un peu intégrés dans la société 4ème cercle, zone des classes moyennes plus aisés. Et autour de ce 4ème cercle se trouve des zones résidentielles, chics. Le quartier noir de Chicago est à cheval sur 3 cercles : immigrants, ouvriers et classe moyennes. La mobilité et la circulation des individus modifient l'espace urbain, ils montrent l'échelle sociale et changent donc de cercle. L'écologie urbaine étudie la répartition urbaine ainsi que le degré d'intégration de chaque ethnie. [...]

[...] Idée de l'infériorité des noires pas réelles mais conséquences réelles = racisme. Idée des femmes inférieurs pas réelles mais conséquences réelles = discrimination sociale. Robert PARK (1864 1944) Ancien journaliste, il veut rapporter les faits le plus précisément possible mais avec détachement, du recul. Désaccord avec thomas, il faut rester neutre. Il n'est pas question d'adhérer à leur point de vue. Le chercheur doit rester étranger alors que pour thomas, lui cherche à réduire la distance. «The city Il expose sa sociologie : écologie urbaine. [...]

[...] 4ème phase : les différences entre les groupes disparaissent, tout le monde se mélange. Cette phase ne sert produit que très rarement voir jamais. Selon les étudiants de Park, il ne peut pas y avoir d'assimilation, juste une juxtaposition des cultures, du moins pour le moment. L'observation participante va ensuite être utilisé par l'école de Chicago, inventé par Malimourski qui en avait assez de l'évolutisme évolution linéaire des civilisations, de primitive à moderne) qui a tendance à penser que les blancs sont supérieures. [...]

[...] Selon la scène où l'on se situe, on joue un certain rôle qui n'est pas ce que nous sommes véritablement en coulisse techniques d'expressions : La façade l'appareillage symbolique mobilisé par l'individu, le décor, le mobilier, leur disposition qui sont mélangé à des éléments plus personnels qui définissent l'individu (sexe, âge, personnalité ) mais aussi les gestes, les mimiques, des caractéristiques qui nous sont propres. Il arrive que les décors se déplacent avec le personnage. Dresse code parfois particuliers : blouse, uniforme de police . Quand on accueille des collègues chez soi, on a tendance à cacher certaines choses pour donner une bonne image de soit. La cohérence c'est quand l'acteur cherche à éviter toute les maladresses. Par exemple, bâillement, lapsus. [...]

[...] - Prendre la ville de Chicago comme terrain et objet de recherche. L'école s'est spécialisée dans l'étude des différentes communautés de la ville et les relations qu'elles entretiennent entre elles. William THOMAS (1863 1947) Un des premiers élèves du département et y deviendra enseignant. C'est le père de la sociologie à Chicago. Sex and society Il va questionner l'infériorité des femmes. Certains anthropologue vont considérer la femme comme intermédiaire entre l'homme et l'enfant, et que l'homme était un peu plus développer que la femme. [...]