Epreuve type baccalauréat de Sciences Economiques et Sociales. Cette question de synthèse porte sur les thèmes de la mobilité sociale et des inégalités sociales.
[...] Ainsi celui-ci distingue deux types de famille : la famille aisée où l'enfant pourra d'avantage manipuler les mots et la famille modeste où l'enfant n'aura pas cette chance, il y aura moins de richesses dans son vocabulaire. Ainsi l'école ne reconnait qu'un seul type de langage : le soutenu. Bourdieu parle de la théorie des codes sociolinguistiques (document [Conclusion] Ainsi il a été vu que l'ascenseur social n'est pas en panne certaines catégories connaissent encore une forte mobilité sociale. Mais en ce qui concerne la position sociale des individus celui-ci reste inégalitaire du fait que les inégalités résident depuis la plus jeune enfance de l'enfant et cela va continuer jusqu'à sa mort. [...]
[...] Aujourd'hui, dans la société française nous sommes dans une ère où le secteur tertiaire domine, il y a donc beaucoup plus de personnes qui travaillent dans ce secteur [Transition] La France a donc connu globalement une certaine mobilité sociale du fait de la transformation des structures de l'emploi (de la mobilité structurelle) mais aussi de la mobilité nette quand c'est l'individu qui désire changer de position sociale. Mais pour accéder à un emploi, il faut aller à l'école et avoir des diplômes. C'est l'école qui révèle les inégalités, mais aussi la famille. Pour Bourdieu, il y a une interaction entre l'école et la famille. [Deuxième partie] L'accès aux positions sociales est inégalitaire. La cause première est la famille, c'est-àdire le milieu social d'origine. [...]
[...] [Introduction] La mobilité sociale désigne le fait que le père ou le fils change de position sociale. Il existe plusieurs formes de mobilité, on peut citer la mobilité intergénérationnelle, la mobilité intergénérationnelle, la mobilité nette ou de circulation, la mobilité structurelle Mais ces mobilités peuvent se faire inégalement. La grille des destinées regroupent les métiers ou catégories socioprofessionnelles des fils, mais pour accéder à cette catégorie, il faut des diplômes, donc aller à l'école : c'est ici que commence les inégalités. [...]
[...] Il va donc y avoir des inégalités scolaires, liées au capital culturel des parents. En ce qui concerne l'accès à l'école, on assiste à une démocratisation que l'on peut qualifier d'imparfait ; de plus quand on aborde les inégalités scolaires on peut aussi aborder les inégalités cumulables. Pour Bourdieu, il y a un capital économique qui est à l'origine du financement des études, ainsi plus on appartient aux catégories aisées, plus on a de facilités à financer les études longues et prestigieuses. [...]
[...] En effet on constate que fils d'artisans-commerçants deviennent ouvrier, aussi de ces fils font une profession intermédiaire. La table des destinées nous montre soit une ascension sociale ou le cas inverse des fils d'artisans-commerçants deviennent soit cadres ou exercent une profession intellectuelle supérieure. Il ya donc dans ce cas une ascension sociale. Cela peut s'expliquer de plusieurs manières. Tout d'abord par la mobilité structurelle. Ceux qui connaissent une forte mobilité sociale sont les professions intermédiaires et les professions supérieures, du fait de la tertiarisation (progrès technique, investissement de production). [...]
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