Le Suicide 1897, Émile Durkheim, sociologie, psychologie, taux du suicide, pays d'Europe, société, tableaux de statistiques, actes d'imprudence, négligence, action positive, action négative
"Le Suicide" est une oeuvre d'Émile Durkheim (1858-1917) le père fondateur de la sociologie française. Il a publié "Les règles de la méthode sociologique". Il a créé également une revue nommée "L'Année sociologique" en 1898, dans laquelle il publiait des fiches de lectures. Il a fait le premier cours de sociologie en France en 1913 à la Sorbonne et il a fait entrer la discipline à l'université.
[...] Les variabilités des taux de suicide sont « une tendance au suicide » (p14). Finalement, le sociologue évoque le suicide particulier dont il l'exclut de son étude, car selon lui ce cas de suicide intéresse seulement les psychologues. Ces derniers étudient le comportement de l'individu, alors que les sociologues étudient les groupes d'individus ou « l'ensemble de la société » (p15). Conclusion Dans cette introduction, Emile Durkheim a démontré que le suicide relève de la sociologie plus que la psychologie. Pour cela cet ouvrage est très important pour la sociologie. [...]
[...] Présentation de l'œuvre Le Suicide est une œuvre d'Emile Durkheim (1858-1917), le père fondateur de la sociologie française. Il a publié Les règles de la méthode sociologique. Il a créé également une revue nommée L'Année sociologique en 1898, dans laquelle il publiait des fiches de lectures. Il a fait le premier cours de sociologie en France en 1913 à la Sorbonne et il a fait entrer la discipline à l'université. Dans Le Suicide, Durkheim cherche à savoir si le suicide relève d'une question sociologique. [...]
[...] Ceci conduit à une ambiguïté certaine. Le savant doit donc donner une définition objective du suicide. Il doit faire une un regroupement des termes ou des mots qui lui seront nécessaires pour l'étude du phénomène. Ces groupes aideront à comparer, ainsi à trouver les caractères objectifs communs des différentes morts dites suicidaires. Dans un deuxième temps, Durkheim donne deux caractéristiques du suicide : - La première est le fait de se donner la mort volontairement, avec une « action positive » ou une « action négative ». [...]
[...] Ainsi il constate que le total est « sui génois » Dans un deuxième temps, il analyse les trois tableaux de statistiques qu'il a réalisés. Le total est presque invariable lorsque les statistiques sont faites durant une courte période. Ces résultats montrent l'invariabilité de la société d'une année à l'autre. Au contraire, lorsqu'il a pris une longue durée, il a constaté des variations bien importantes. Donc à long terme, la société varie beaucoup, mais connaît un certain nombre de crises et de ruptures. Ceci explique le grand nombre de suicides en une longue période. [...]
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