Ce n'est pas réellement simple de trouver des ouvrages sur le mouvement féministe en général et qui sont des œuvres sociologiques. Beaucoup de livres sur le sujet tels que l'autobiographie de Simone Veil ou « Histoire du féminisme » de Michèle RIOT-SARCEY sont très intéressants, mais n'entraient pas dans le cadre du sujet, malheureusement. D'autres ouvrages existent, dans des éditions engagées politiquement, mais j'ai préféré ne pas les citer et m'en tenir aux œuvres de la liste ci-dessous, d'autant plus que je n'étais sûr ni de leur véracité ni de leur pertinence par rapport au cadre de ce devoir. Je me suis cantonnée au féminisme français, bien que de nombreux ouvrages existent sur le féminisme international, parce que ce point n'était pas précisé et qu'il me semblait logique de commencer par là. Par contre, en évinçant le féminisme québécois, la liste des œuvres s'amenuisait considérablement. J'ai donc laissé, dans ma liste, celles qui me paraissaient pertinentes.
[...] Ces temps partiels sont bien souvent plus subis que choisis. Il est donc compréhensible qu'il reste autant de clivage dans la division du travail au sein d'un couple. De plus, matrice, la femme est appelée à s'absenter de son travail pour procréer et éduquer. On hésite donc à leur donner trop de responsabilités. Ce qui est loin d'être le cas dans le partage des tâches ménagères, même lorsque la femme travaille à temps plein. Les études dirigées sur ce sujet montrent d'ailleurs que 80% du travail domestique est encore, de nos jours, pris en charge par les femmes, ce que je crois sans aucun doute puisque je vis cette inégalité au quotidien. [...]
[...] A l'école, car les stéréotypes perdurent et dans le monde du travail parce qu'on ne leur fait pas confiance. D'ailleurs, les femmes sont plus touchées par le chômage que les hommes et travaillent plus dans le cadre de temps partiels qui leur sont imposés. Pour expliquer le meilleur niveau scolaire des filles et leur orientation vers les filières littéraires, un phénomène peut être pris en compte : leur docilité. A l'école ou dans la famille, filles et garçons sont socialisés différemment. [...]
[...] Par contre, face au déterminisme biologique dont a pu faire preuve Emile DURKHEIM, je doute que ce dernier ait apprécié lire les résultats de cette étude. Leur théorie explicative serait d'ailleurs plus proche de Pierre BOURDIEU. Ce qu'il ressort de leur enquête, c'est : A l'entrée en 6ème, le niveau en français est meilleur pour les filles et le niveau en maths est équivalent à celui des garçons. Les filles redoublent moins et lorsqu'elles redoublent, leur redoublement est plus profitable que pour les garçons. [...]
[...] Beaucoup de livres sur le sujet tels que l'autobiographie de Simone VEIL ou Histoire du féminisme de Michèle RIOT-SARCEY sont très intéressants, mais n'entraient pas dans le cadre du sujet, malheureusement. D'autres ouvrages existent, dans des éditions engagées politiquement, mais j'ai préféré ne pas les citer et m'en tenir aux œuvres de la liste ci-dessous, d'autant plus que je n'étais sûr ni de leur véracité ni de leur pertinence par rapport au cadre de ce devoir. Je me suis cantonnée au féminisme français, bien que de nombreux ouvrages existent sur le féminisme international, parce que ce point n'était pas précisé et qu'il me semblait logique de commencer par là. [...]
[...] Recherche particulière sur un domaine qui a trait sur le mouvement féministe Après avoir longuement hésité sur le thème que j'allais choisir, je me suis tournée vers celui de la scolarité parce qu'il fait partie intégrante de mon projet professionnel. Le nombre d'œuvres traitant de ce sujet est remarquable, mais j'ai préféré n'en sélectionner que deux. Ces livres sont l'œuvre de sociologues français contemporains et, bien que tournant autour du même thème, ils sont basés sur des techniques différentes et la population étudiée est différente. [...]
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