Ethnologie, question raciale, contribution culturelles, particularismes, évolutionnisme
Claude Lévi Strauss : né en 1908, s'est orienté vers ethnologie : marqué par géologie, marxisme, psychanalyse, qui font l'effort d'intégrer des concepts comme la terre, les groupes sociaux et l'individu dans un raisonnement rationnel ,Intérêt de CLS.
Séjour au Brésil de 1934 à 1939 : professeur et missions ethnographiques, rapportées notamment dans Tristes tropiques. (1955°
Séjour USA : voit la possibilité d'appliquer une démarche scientifique aux fait humains , Crée des nouveaux modèles anthropologiques.
C'est l'Homme qui a apporté beaucoup dans la pensée contemporaine, et à l'ethnologie.
[...] Or cela entraine une baisse de la diversité, ce qui est pourtant la base d'une collaboration féconde. D'où le rôle important que les institutions doivent prendre : il leur faut préserver la diversité, mais pas seulement dans le passé = conservation/ protection des différentes formes de cultures déjà existantes, mais aussi dans le futur : il faut écouter les nouvelles idées, les nvx courants d'idées Emergence alors d'une idée de tolérance : attitude dynamique, qui consiste à promouvoir ce qui veut être, et qui désire que la diversité se réalise dans la générosité : s'il doit y avoir différences, c'est pour en faire bénéficier les autres, il doit y avoir une notion de partage. [...]
[...] Transition : Certains affirment que ces derniers progrès sur lesquels notre monde repose sont en fait dus au hasard. Mais c'est faux, Chapitre 8 Les inventions primitives ne sont pas le fruit du hasard, ces inventions nécessitaient des inventions bien spécifiques. Ex, on peut concevoir que viande rôtie = vient d'un incendie, mais comment expliquer les cuissons vapeurs qui datent de la préhistoire ? Ou alors, autre ex, la poterie : nécessité de bien choisir son argile, certain temps de cuisson + technique pour avoir un récipient correct/ étanche après cuisson. [...]
[...] Du à cette vision, on doit prendre du recul, et on voit l'apparition d'un phéno : le relativisme culturel. : en refusant l'humanité à des sauvages, on en devient un aussi : Le barbare c'est d'abord l'homme qui croit à la barbarie Homme : accepte difficilement les différences, se réfugie alors dans ce que l'on a appelé un faux évolutionnisme : la tendance à voir les cultures primitives comme des stades antérieures de l'humanité, qui sont amenées à se dvlper. [...]
[...] Il y a alors deux solutions possibles, pour revenir à la complexité de la solution de départ, afin d'avoir à nouveau des sociétés avec des écarts : en effet, présence des écarts nécessaires pour échanges fructueux. o On réintroduit des écarts différentiels, grâce par exemple à des inégalités sociales = une diversification du corps social : lors de la révolution néo : créations des grdes classes urbaines, des castes, des classes. Avec la RI, il y a eu naissance du prolétariat. Or, si on a besoin de créer des écarts entre les hommes pour avoir un progrès technique = remise en question de la fierté occidentale. o Introduire de nouveaux partenaires dans la coalition mondiale. [...]
[...] On a vu, que dans des civilisations actuelles, les peintures de chasse retrouvées dans des grottes étaient le symbole de rites de chasse. Facilité alors de faire un parallèle, et d'associer les peintures rupestres retrouvées dans les cavernes préhistoriques à des rites de chasse alors que ON N'EN SAIT RIEN ! Cela pose un autre pb : quand on fait une comparaison entre occident et peuples dits archaïques, bcp ont supposé que c'étaient des peuples sans histoire car en effet : si ces peuples sont des étapes, alors il ne se passe as grd chose avant ( FAUX, l'histoire est juste non retenue, mais belle et bien présente. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture