Penser autrement la jeunesse, François de Singly, statut d'adulte, état, soutien à l'indépendance, dimensions de l'individualisation, autonomie, société
L'article, traitant de la sociologie de la jeunesse, aborde plus particulièrement la question de l'autonomie. 2 thèses sont au cœur de cet article. La première est l'accès à l'âge adulte, au sein de nos sociétés modernes, ne constitue plus un objectif en soi et qu'il ne s'agit plus là d'un idéal. La seconde thèse avancée est l'idée la jeunesse se caractérise par l'état de dissociation entre autonomie et indépendance. L'article termine par une défense d'une allocation autonomie pour les jeunes versée par l'État.
[...] La jeunesse se caractérise par une phase de renégociation avec les acteur sociaux (parents, éducateurs, ) du contrôle de nouveaux territoire. On a l'impression que les parents concevait ces les jeunes une identité en 2 zones : u ne qui est de sa responsabilité (loisirs, sexuelle, ) et une sous la responsabilité des parents (scolaires notamment). Il y aurait donc dissociation entre autonomie et indépendance. Cette dissociation n'est pas forcément un problème social (cf. ; femmes au foyer de 20s à 60s), mais elle est devenue car le modèle de l'association s'est imposée. [...]
[...] Penser autrement la jeunesse. Lien social et politiques, 9-21, doi : 10.7202 /005086ar L'article, traitant de la sociologie de la jeunesse, abord plus particulièrement la question de l'autonomie thèses sont au cœur de cet article. La première est l'accès à l'âge adulte, au sein de nos sociétés modernes, ne constitue plus un objectif en soi et qu'il ne s'agit plus là d'un idéal. La seconde thèse avancé est l'idée la jeunesse se caractérise par l'état de dissociation entre autonomie et indépendance. [...]
[...] L'idée défendue est la suivante. Aujourd'hui, les aides versées pour la jeunesse le sont aux parents, qui les utilisent ensuite selon leur jugement au bénéfice des jeunes. Si les aides en question étaient directement versées aux jeunes, le problème de leur dépendance à leurs parents serait évité, dans la mesure où ceux-ci ne servirait plus d'intermédiaire entre eux et l'état. Cela permettrait, en terne me construction identitaire, de permettre au jeune de ne plus se définir en tant que « fils de » ou « fille de ». [...]
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