Le manifeste du parti communiste, chapitre 1, Karl Marx, Friedrich Engels, Bourgeois et prolétaires
Le manifeste du parti communiste dont Karl Marx et Friedrich Engels sont les écrivains en 1848 a été écrit en pleine période de révolution et d'instabilité politique.
Les auteurs nous expliquent dans ce texte que la lutte des classes est un phénomène permanent qui traverse les siècles et que la société est hiérarchisée.
[...] Le manifeste du parti communiste dont Karl Marx et Friedrich Engels sont les écrivains en 1848 a été écrit en pleine période de révolution et d'instabilité politique. Les auteurs nous expliquent dans ce texte que la lutte des classes est un phénomène permanent qui traverse les siècles et que la société est hiérarchisée. Ils analysent comment la bourgeoisie parvient à acquérir de plus en plus de pouvoir et à devenir maître de la société, dominant l'ensemble du prolétariat. Karl Marx et Friedrich Engels finissent enfin par nous montrer en quoi la bourgeoisie causera sa propre perte. [...]
[...] Pour ce faire, elle modernise les moyens de production et de communication, exerçant ainsi une concurrence déloyale et trop puissante pour les artisans, qui seront alors contraints de rejoindre le prolétariat. La bourgeoisie et son industrie s'étendent à travers les pays et créent ainsi un monde dont les privilèges et le profit leur sont uniquement destinés. Pour ne pas restreindre son pouvoir, la bourgeoisie se doit de révolutionner les techniques de production. On voit ainsi l'apparition de machines qui visent peu à peu à remplacer le travail et les compétences particulières des ouvriers et engendrent de cette manière une division importante du travail qui ne constitue plus qu'une tâche précise et répétitive menant à réduire le travailleur à l'état de simple objet. [...]
[...] On voit alors apparaître des mouvements de révoltes envers les bourgeois mais aussi contre les moyens de production, où les machines seront brisées et les usines brûlées. Des associations permanentes sont crées et quelques lois en faveur des prolétaires seront alors votées, comme la limitation des heures de travail à dix par jour. La bourgeoisie ne peut plus avoir d'emprise sur le prolétariat qui est devenu une réelle puissance de part sa masse, et sa victoire est par conséquent inévitable. [...]
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