Descola les lances du crépuscules arutam
Philippe DESCOLA est un anthropologue qui se consacre à l'étude des modes de socialisation de la nature par des analyses comparatives. En Octobre 1976, il se rendra en Amazonie chez les Jivaros. Il cherche découvrir une civilisation inconnue pour le reste du monde car en effet avant sa recherche les connaissances sur les indiens Jivaros étaient très limités. Dans cet ouvrage Les lances du crépuscule. Relation Jiveros/Amazonie a été publié en 2000, il relate au quotidien les étapes d'une intimité affective chez les Jivaros. Les Jivaros sont divisés en 4 tribus, les Shuar, les Aguaruna, les Achuar et les Huambisa. Ces quatres tribus partagent la même langue et certains éléments culturels mais certaines différences sont présentes selon les aspects comme l'organisation sociales, la culture matérielle et le système de croyance. Dans cet extrait qui se situe page 338-345, DESCOLA nous relate certaines choses sur l'arutam.
[...] Il contribue au partage de l'identité d'une génération à une autre. Référence au texte de BALANDIER Georges Afrique ambiguë avec l'extrait page 322-331 où il parle des sociétés africaines avec le Bwiti où le geste et la parole sont primordiaux pour la transmission de l'histoire ainsi que des traditions. IV) Analyse comparative. - La vision entre les Achuar, les Shuar et les Agaruna. Agaruna : nom différent ajutap, lié aussi au destin mais pour prédiction à la guerre donc engendre la bravoure. [...]
[...] Cela produit une réelle confiance. - L'arutam se dissipe au fur et à mesure, il est comme un double. La force de l'arutam dépend de ce que l'individu fait. Lorsqu'un individu mort, l'arutam s'en va c'est alors la fin d'un cycle. L'arutam est un comme un soutien pour la personne. = L'arutam a une valeur active et un rôle passif. Référence aux génies en Afrique qui produit la force des gens. Lorsqu'il quitte le village leur génie quitte leur corps. [...]
[...] - Il font référence à la famille ce qui implique une recherche généalogique et de lieu. Ce qui produit un rapport entre la parenté et la résidence. - Le chanteur dans cet anent supplie encore. - Une métamorphose se créait avec de nouvelles caractéristiques. - Grâce à cela il arrive à créer une nouvelle personne grâce au chant d'arutam à travers la parenté et la résidence. = L'arutam est une entité mais est-ce une âme ancestrale ? Référence aux rites de passage en Afrique, GODELIER Maurice La production des Grands Hommes, Pouvoir et domination masculine chez les Baruyas de Nouvelle-Guinée. [...]
[...] Référence au texte de BALANDIER Georges Afrique ambiguë avec l'extrait page 188-195 où il fait une analyse comparative entre la ville de Jos et sa périphérie. Dans lesquelles les méthodes d'extraction de l'étain sont différentes. Pourquoi l'arutam ? (paragraphe 11) - Avant que les guerres incessantes menées par les Schuar contre les Achuar conduisent au repli de ces derniers, le peuple étudié par DESCOLA, entretenait la chasse aux têtes. Le but de cela était de " consolider la consanguinité imaginaire des groupes de voisinage". [...]
[...] Les lances du crépuscule - Philippe Descola INTRODUCTION Philippe DESCOLA est un anthropologue qui se consacre à l'étude des modes de socialisation de la nature par des analyses comparatives. En octobre 1976, il se rendra en Amazonie chez les Jivaros. Il cherche découvrir une civilisation inconnue pour le reste du monde car avant sa recherche les connaissances sur les Indiens Jivaros étaient très limitées. Dans cet ouvrage Les lances du crépuscule. Relation Jiveros/Amazonie a été publié en 2000, il relate au quotidien les étapes d'une intimité affective chez les Jivaros. [...]
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