Les principales utilisées sont la sociologie, la psychologie et aussi l'ethnologie. En effet, il y a une analyse du couple et de chacun des partenaires tant dans leur personnalité que dans l'environnement dans lequel ils vivent, mais aussi en fonction de leur culture. La façon de faire, les habitudes et les étapes ne sont pas les mêmes dans chaque culture, ni dans chaque société.
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Pour le choix du conjoint, il parle d'homogamie soit du fait que deux individus se rencontrent en fonction de la profession du père de l'homme et de celle du père de la femme. Ainsi, les deux catégories socioprofessionnelles sont généralement semblables. Pourtant il est tout de même nécessaire qu'il y ait des différences entre les deux partenaires afin qu'ils se complètent tout en n'ayant pas trop de points de vue ni d'idées divergentes. Ensuite, vient l'exemple de l'âge, qui comme une norme sociale, veut que l'homme soit un peu plus âgé que la femme. Pour ce qui est du choix du conjoint, beaucoup pensent qu'ils se sont rencontrés par hasard alors qu'ils se sont plus trouvés d'après J-C. Kaufmann. Il met en évidence un triangle des rencontres entre les lieux publics, les lieux privés et les lieux réservés. Ainsi, tout le monde ne se rendant pas dans chacun de ces lieux ou n'y ayant pas accès, les personnes à rencontrer sont plus limitées et déterminées à l'avance ce qui rejoint l'homogamie.
Après la rencontre vient la mise en couple. Autrefois, la mise en couple se faisait par le mariage, le premier rapport sexuel, puis une cohabitation. Aujourd'hui, cela est beaucoup plus complexe car il y a beaucoup d'étapes avant une cohabitation ou encore un mariage. En effet, souvent les deux partenaires restent chez leurs parents ou dans leur propre appartement au début de la relation afin de garder un minimum de libertés (...)
[...] Les plus nommés sont Alain Girard, Michel Bozon et François de Singly qui revient à de nombreuses reprises. L'auteur : Jean-Claude Kaufmann est un sociologue français né en 1948 à Rennes. Spécialiste de la vie quotidienne, il a ensuite replacé ses premières analyses dans la problématique plus large de l'identité, qu'il a de ce fait contribué à renouveler. Il est admis au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) en 1977 où il travaille, dans le cadre général de ses recherches, sur la socialisation, l'identité et la subjectivité. [...]
[...] Il est vrai que cela est plus difficile si le couple est déjà installé ensemble dans son logement. J-C. Kaufmann appelle cela l'étape de la brosse à dents : c'est le moment où l'installation en cohabitation se fait progressivement avec le geste de laisser chez l'autre sa brosse à dents ou quelques vêtements de rechange, ce qui implique que l'on va revenir de façon régulière et que l'attachement est ainsi plus marqué. Une fois que la cohabitation est effective, il est possible qu'il y ait mariage mais de nos jours, cela est devenu un détail : plus une tradition, un symbole, que la concrétisation du couple. [...]
[...] Kaufmann appelle la défection secrète Le couple peut également utiliser les petits messages sans importance, souvent sur le ton de la dérision, pour exprimer son désaccord, ce qui une nouvelle fois évite la dispute. Néanmoins, comme le dit J-C. Kaufmann, la conversation conjugale est un art très difficile qui reste cependant l'instrument privilégié pour résoudre les conflits. La démarche de traitement du sujet : Dans son livre, J-C. Kaufmann présente le nouveau couple comme une union non hasardeuse mais respectant une certaine démarche normative. [...]
[...] Autrefois, la mise en couple se faisait par le mariage, le premier rapport sexuel, puis une cohabitation. Aujourd'hui, cela est beaucoup plus complexe car il y a beaucoup d'étapes avant une cohabitation ou encore un mariage. En effet, souvent les deux partenaires restent chez leurs parents ou dans leur propre appartement au début de la relation afin de garder un minimum de libertés. Par la suite, une première cohabitation peut se faire chez l'un (ou chez les parents de l'un) pour ensuite devenir plus concrète dans un logement commun. [...]
[...] Pour expliquer tout cela, il part de la rencontre jusqu'à la vie en couple et l'ensemble de leurs composants. Il explique que deux personnes ne se rencontrent pas par hasard, que ce soit la date, le lieu ou la personne, tout suit une logique. Ensuite, pendant la rencontre, une sorte de rituel est suivi et chacun sait ce qu'il a à faire. Il en est de même pour la première relation sexuelle. Suit la mise en couple, qui se fait tout d'abord progressivement pour n'être officielle que lorsque la relation est sûre et que les partenaires se sont bien découverts. [...]
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