Pour François Le Corre, « de nos jours, l'ostéopathie est devenue une réalité incontournable et l'objet d'un...
[...] En effet, pour Leonard Laskow, à l'origine de cette théorie qui reste évidemment discutable, « « l'amour est la plus puissante forme d'énergie thérapeutique et le premier catalyseur du retour à la santé. C'est notre impuissance à nous aimer nous-mêmes ou à recevoir l'amour des autres qui est à l'origine de la plupart de nos maladies » (Laskow, 2015). Ce que Laskow appelle « vérité » ou « conscience pure » détermine donc notre façon de se comporter. Cette énergie est selon son approche déterminante pour établir les relations entre les individus et surtout dans une relation soignant-soigné. [...]
[...] Presses Universitaires de France pp. 17-38. Le Corre, François. L'ostéopathie. Presses Universitaires de France, Paris Maraquin, Carine, et Geneviève Masson. « Plaidoyer pour l'attachement entre les soignants et les personnes dont ils prennent soin », VST - Vie sociale et traitements, vol no pp. 128-130. Menaut, Hervé. « Les soins relationnels existent-ils ? », VST - Vie sociale et traitements, vol no pp. [...]
[...] 175-194. Laskow, Léonard. Par don d'amour. Éditions Jouvence, Genève (édition de poche) Laskow, Léonard. Guérir par l'amour. Éditions Jouvence, Genève (édition de poche) Laskow, Léonard. L'amour, énergie subtile de la guérison, Édition Dangles, Escalquens Le Breton, David. « Chapitre 1. L'insaisissable du corps », Anthropologie du corps et de la modernité. Sous la direction de Le Breton David. [...]
[...] Dans notre vie professionnelle, c'est à dire dans un contexte physique, technique, cette perspective nous donne une nouvelle liberté, un nouvel espace pour reconsidérer un niveau plus profond de soins médicaux, ostéopathiques en l'occurrence. C'est dans ce cadre que nous souhaitions réfléchir à cette question. Dès lors, il s'agit peut-être du moment où l'on peut ainsi reconsidérer ce qui a toujours été le fondement de la sollicitude et de la guérison, même s'il doit maintenant être reconsidéré, à la lumière de ce travail, pour les raisons que nous avons évoqué au cours de notre analyse. [...]
[...] Toutefois, avant d'aller plus loin, il faut bien évidemment constater que travailler sur la relation entre patient et thérapeute peut soulever des interrogations sur la finalité heuristique de notre recherche. En ce sens, il faut bien admettre qu'apprécier les relations entre le patient et le praticien peut engendrer des doutes. C'est donc évidemment le cas lorsqu'on aborde un sujet autant sensible qu'une relation où le thérapeute se met à aimer son patient dans une finalité où l'efficacité du traitement est en jeu. C'est ce que confirment Carine Maraquin, et Geneviève Masson. [...]
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