Les opposants considèrent que l'éco tourisme qui préconise le « principe de conservation » est plus rentable que la chasse aux animaux sauvages.
[...] Parmi les acteurs interrogés, lequel réconcilie les deux types d'action rationnelle ? L'Afrique du Sud arrive à réconcilier les principes éthiques (les valeurs) avec le profit via la mise en place d'un système de rétribution de l'argent au profit de la conservation des espèces en voie de disparition (exemple du rhinocéros blanc). En parallèle, on industrialise la reproduction des animaux non protégés pour les tuer. En d'autres termes, on fait payer des touristes pour tuer des animaux non protégés et on redistribue cet argent gagné pour la conservation des espèces en voie d'extinction (une variante détournée de Robin des bois en quelque sorte . [...]
[...] Dans le cas précis de l'Obamacare, il est question d'assurer l'accès aux soins (souvent un luxe comme le démontre le texte étudié), tout en laissant une place importante aux acteurs privés (assurances) Quels avantages/inconvénients propres à la logique du don retrouvez-vous dans cet article là où vous avez repéré qu'elle intervient dans la question 1.1.? D'après les théoriciens du mouvement anti utilitariste en sciences social (Godbout et Mauss), le don se caractérise par la relation d'échange qui allie intérêts et désintérêts. Le financement participatif (crowndfunding), mécénat moderne, entre dans la quatrième sphère de don expliqué par Godbout : le don aux inconnus. [...]
[...] Le texte met en avant le fait qu'empiriquement, ce sont les histoires qui ont le plus de probabilité de bien se terminer qui atteignent leur objectif. En revanche, les porteurs de maladie chronique ont un taux de réussite nettement plus faible. Nous sommes donc face à une société du spectacle (mise en scène de la douleur) à la recherche du « happy ending ». Par la force des choses, on note que le don impersonnel se personnalise via le procédé d'échange : argent contre histoire. [...]
[...] Sociologie : Weber, Godbout, Sennett Weber : Analyse du mini texte la chasse au Kenya (voir ci-joint) page 49-59 dans le résumé du cours. Q1. Repérez les différents arguments des défenseurs et des opposants à l'interdiction de la chasse des animaux sauvages. Sur cette base, quel(s) type(s) d'action caractérise(nt) chacun de ces groupes ? Les opposants considèrent que l'éco tourisme qui préconise le « principe de conservation » est plus rentable que la chasse aux animaux sauvages. La situation géopolitique de la région (principalement les conflits au sein des états frontaliers et la corruption) rendent difficile une légalisation contrôlée. [...]
[...] Nuancez votre réponse. Le Kenya et l'Afrique du sud ont des visions divergentes au premier abord. Néanmoins, elles tendent toutes deux à évoluer : l'Afrique du Sud en mettant des politiques pour lutter contre l'extinction d'espèces en danger et le Kenya pense assouplir sa législation en la matière (afin de contenir les pertes financières touristiques depuis les attentats). Dans les deux cas, la question du braconnage soulève différentes questions sur l'homme et la société. En effet, le besoin de se mettre en situation de danger face à un animal sauvage, la volonté de contrôler la nature, montre une volonté de prouver sa supériorité (« moyens pour les riches de flatter leur égo »). [...]
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