Le rapport Daoust + L'alcool en fête : manière de boire de la nouvelle jeunesse.
[...] La deuxième interrogation de cette ouvrage porte sur les facteurs de différenciation qui peuvent influer sur la représentation et la consommation de l'alcool par les étudiants. Le troisième point qui interroge les auteurs se concentre autour des messages publics sur l'alcool. Cela sont représenté à la fois par les messages publicitaires des marques d'alcool et les messages de prévention, ce qui construirait une culture autour de l'alcool. Ici, les auteurs n'ont pas donner les normes de consommation d'alcool selon eux. Pour cela il faudrait se concentrer sur l'enquete qu'ils ont mené. [...]
[...] Les études concernant les étudiants se tourne essentiellement autour de leurs études et du diplôme, alors que pourtant, la consommation d'alcool des étudiants est une « pratique structurante de sociabilité ». Les auteurs veulent comprendre comment se structure leur consommation qui leur est si particulière. Cela permet d'en apprendre beaucoup sur eux. En s'appuyant sur Chamboredon, on comprend que la consommation d'alcool des étudiant n'est plus de l'ordre de la découverte mais est régie par des normes et des règles sociales selon hypothèse. Bien évidemment, les jeunes consomme de l'alcool plus pour ses effets que pour son gout et son statut n'est pas différent de celui des autres substances psychoactive. [...]
[...] Il y a tout d'abord le cadre juridique à modifier pour que les responsables d'évènements déclare les modalité de l'organisation aux autorités (mairies et/ou préfectures) des lieux d'organisation. Ensuite, le rapport préconise d'organiser des contrôles afin de vérifier le respect de la loi HPST concernant la vente d'alcool à prix réduit pendant une période donnée (Happy hours). Pour finir, la dernière préconisation concerne l'accompagnement des chefs d'établissements. Pour cette accompagnement il fut imaginé une « boites à outils » qui renseignent en fonction du territoire les ressources disponibles pour la formation, la sensibilisation et la prise en charge des évènements. [...]
[...] Dans ce rapport, il n'y a pas de définition à proprement parler de la norme de consommation d'alcool. Cependant, la notion de ivre est tout de même mentionner. De plus, le concept de « Binge drinking » est également utilisé. L'auteur utilise la référence de l'OMS pour décrire sa norme : « Ce comportement d'alcoolisation, qui correspond au « binge drinking » anglo-saxon, désigne une alcoolisation ponctuelle, massive et rapide, clairement supérieure aux recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé verres ou plus d'alcool à la même occasion) ( . [...]
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