Santé, alimentation, consultation médicale, capacités physiques, licence de sociologie, méthodologie des sciences sociales, IMC Indice de Masse Corporelle, revenus, salaire
L'enjeu de vie ou de mort est le plus important dans le domaine de la santé. Un individu en très mauvaise santé est sujet aux hospitalisations, aux soins de toutes sortes, notamment médicamenteux, et est peut-être souvent contraint aux consultations médicales. En comparaison, l'enjeu pour un individu d'avoir une corpulence trop ou trop peu importante est essentiellement vis-à-vis de ses capacités physiques et de son intégration sociale au sein de la société contemporaine. L'image que les gens auront de soi aura un impact sur les sollicitations et les opportunités qui se présenteront à soi, qu'il s'agisse d'amitié, de relations amoureuses ou de relations sexuelles.
[...] Cependant les méthodes quantitatives ont tendance à voiler la réalité d'un phénomène étudié, il est difficile de réaliser une recherche de manière empirique. Dans le sens contraire si une étude qualitative a déjà été effectuée, la méthode quantitative servira à vérifier les faits. Enfin, l'outil informatique offre une capacité de calcul permettant te traiter un grand nombre de données, de diverses manières, ce qui serait impossible autrement. Problématique Il est intéressant de se soucier du rapport entre richesse financière et corpulence, nous utiliserons cette variable dans notre dossier afin de vérifier s'il y a nécessairement un lien entre la corpulence d'une personne et son état de santé. [...]
[...] Il n'est donc pas possible d'affirmer que le grignotage entre les repas puisse avoir un quelconque corrélation avec les niveaux de revenus financiers des individus. L'hypothèse 4 quant à elle présente une p-value assez élevée qui ne permet pas de rejeter l'hypothèse disant que le fait de sauter des repas ou de manger hâtivement par manque de temps, dépend du niveau de revenu financier des individus. La dernière hypothèse à directement comparer l'état de santé déclarer par les individus, avec le niveau de revenu financier, et la p-value s'avère très élevée, ce qui permet de ne pas rejeter l'hypothèse affirmant que les personnes avec les meilleurs revenus financiers sont les personnes avec en meilleure santé. [...]
[...] Ce qui est paradoxal parce qu'une importante maigreur est médicalement souvent un symptôme de sous-nutrition, alors que l'aisance financière permet de s'alimenter selon les envies, ce que ne permet pas la pauvreté. Nous verrons dans le tableau numéro comparant les IMC selon les niveaux de revenus, pour un échantillon de 7550 personnes, que les personnes ayant un très bas salaire (c'est à dire moins de 800Euro par mois) sont quatre fois plus nombreux à être très maigres que la population ayant le salaire le plus élevé (c'est à dire au-delà de 5000Euro par mois). [...]
[...] Source : Enquête « Emploi du Temps : Table Individu », INSEE - 2010. La moitié de la population la plus précaire ne mange jamais hâtivement, contre seulement un tiers de la population la plus riche. Un tiers de la population la plus riche mange souvent hâtivement, contre seulement un sixième de la population la plus pauvre. Parmi la population la plus riche il y a une répartition presque parfaite de personnes n'ayant jamais ce comportement alimentaire, que de personnes l'ayant parfois et que de personnes l'ayant souvent. [...]
[...] - 202 personnes « plus riches que la moyenne » ne sont pas en bonne santé. Il apparaît sur l'analyse de correspondances multiples suivante que les plus grandes variations parmi les facteurs qui nous ont intéressés sont les revenus financiers (salreve_recodage), suivi de la santé, puis des IMC. Conclusion En réalisant le premier tableau observant le rapport entre la santé et l'IMC, l'hypothèse qui affirmerait que les personnes obèse sont plus mauvaise santé que les autres, s'avère de pas pouvoir être rejeté, puisque la p-value et très élevée et te les graphiques témoignent clairement de la dangerosité pour la santé, t'avoir corpulence trop élevé. [...]
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