Traditions sociologiques, holisme, Smith, Tard, religion, famille, Durkheim, Mauss, Kant, Elias, Kardiner, Ruth Benedict, Kwakiutl, Zunis, Margaret Mead, Warner, Robert Lynd, Helen Merrell Lynd, Willis, Goffman, identité sociale, ordre social, sociologie individualiste, éducation, société, fondateurs du culturalisme, intégration sociale
Les sociologies qui mettent l'accent sur l'intégration sociale.
Les sociologies individualistes qui mettent l'accent sur les stratégies déployées par les acteurs dans leur vie sociale.
Les sociologies constructivistes qui mettent l'accent sur la manière dont les individus s'inscrivent dans un monde social construit qu'ils contribuent à travailler.
Les sociologies de l'identité sociale qui mettent l'accent sur les multiples expériences contradictoires que vivent les individus et au sens qu'ils leur donnent.
Normes : comportement ou une pratique auxquelles un individu est tenu de se comporter et qui sert donc de référence. Il existe des normes plus ou moins locales ou globales.
La sociologie est confrontée à l'ordre social depuis son émergence. L'ordre social renvoi à la question de normes sociales. Les sociologues de l'intégration sociale se concentrent sur le processus de socialisation pour comprendre comment on intègre l'ordre social.
[...] - Sur des qualités liées à cette culture anti-école (le sens de la débrouille, le courage, le sens du moment). - Sur des adversaires, les fayots qui vont se soumettre à l'école, qui vont accepter les verdicts scolaires et les représentants de l'institution comme les instituteurs. II. Les sociologies constructivistes Le constructivisme désigne un ensemble de travaux qui appréhendent la réalité sociale non comme une chose, mais comme une construction sociale par des acteurs individuels ou collectifs en situation. L'attention du chercheur est alors centrée sur l'action concrète, les savoirs mobilisés dans le cadre de cette action, et les caractéristiques des acteurs impliqués dans ce travail. [...]
[...] Les sociologies de l'identité sociale A. L'objet des interactionnistes : l'interaction L'analyse de la société part du comportement de l'individu et en particulier les significations de l'individu. Il y a un accent sur la marge de manœuvre dont disposent les individus dans l'application des normes. L'ordre social apparaît fragile et instable, car il repose sur le succès des interactions. B. L'identité sociale en jeux E. Goffman met l'accent sur l'importance des interactions de face à face qui placent les individus en relation directe. [...]
[...] Il est le père de l'anthropologie française. Il va étudier les rituels de sacrifice en se demandant ce qu'ils peuvent nous apprendre de leur dimension sociale, il veut sortir ces phénomènes de sacrifice de leur apparence anomique et spéculaire pour en étudier des régularités, les analyser comme un fait social. Il va en ressortir des caractéristiques, le sacrifice consacre (institue, changer l'état de) : - La personne (ou l'objet) sacrifiée : le sacrifié va passer du domaine commun au domaine religieux, il sera l'intermédiaire entre le monde des hommes et le monde de Dieu. [...]
[...] Les individus vont intégrer de plus en plus les règles sociales qui caractérisent le passage de la contrainte à l'autocontrainte. Le processus de civilisation conduit les individus à progressivement évacuer la violence physique de leurs relations sociales, et à rechercher, au moins parmi les élites sociales, un certain « raffinement » dans leur conduite ordinaire. Cela atteint les domaines les plus intimes de l'existence (pensée, émotions) : psychogenèse et une évolution des mentalités qui sont mises en relation avec des changements qui s'opèrent dans la société : sociogenèse. [...]
[...] Mais lui refuse d'envisager les phénomènes magiques dans leur dimension psychologique ou paranormale. Il va essayer d'analyser ces phénomènes comme un fait social. La magie repose sur la croyance du groupe lié à un ensemble de règles, c'est le produit d'une croyance collective. Des actes à l'efficacité desquels tout un groupe ne croit pas ne sont pas magiques. Le choix du lieu est important aussi. Elle ne se fait pas communément dans le temple ou sur l'autel domestique, elle se fait d'ordinaire dans les bois, loin des habitations, dans la nuit ou dans l'ombre ou dans les recoins de la maison, c'est-à-dire à l'écart. [...]
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