Progrès, Sylvain Venayre, Enki Bilal, révolution des transports, comportement de consommation, innovation, intensification des activités de la société, nouvelle génération, avancées technologiques
La société contemporaine est dans une optique obsessionnelle du progrès résultant du culte de la vitesse. Le corpus de documents que nous allons synthétiser montre que l'humain est dans un comportement de consommation d'innovation et de zapping généré par l'intensification générale des activités de la société. Ceci nous amena donc à nous interroger sur ces comportements. Dans quelle mesure l'environnement qui nous entoure nous pousse-t-il vers cette obsession, qu'est le besoin de progrès ?
[...] Pour conclure, nous remarquons bien le rôle des avancées technologiques tout au long de la civilisation. Et qu'elles ont connu bien des succès et qu'elles prônent une certaine admiration sociétale. Cependant si la balance vient à changer et que les avancées technologiques représentent plus de danger que d'atout, l'Homme saura-t-il se débrouiller sans eux ? [...]
[...] Sylvain Venayre parle même de sentiment de puissance, de conquête en vue des défis qu'ont relevés ces avancées. En accord avec ces propos Victor Hugo nous illustre bien sa stupéfaction en vue de l'esthétique, la rapidité et la capacité d'accueil qu'offrait le train lui offrant donc un spectacle d'éveil et vue du paysage qui se dérobait sous ses yeux en des formes encore inconnues pour lui. Sylvain Venayre arriva aux mêmes conclusions en termes fonctionnalité de ces machines. Il nous raconte même que lors des années 1820 cette révolution des transports on aboutit à des compétitions attrayantes que chaque minute gagnée lors de ces courses de navire était célébrée par la presse, car toute la population faisait de ces avancées leurs centres d'intérêt. [...]
[...] Toujours plus vite, un progrès ? La société contemporaine est dans une optique obsessionnelle du progrès résultant du culte de la vitesse. Le corpus de document que nous allons synthétiser montre que l'humain est dans un comportement de consommation d'innovation et de zapping généré par l'intensification générale des activités de la société. Ceci nous amena donc à nous interroger sur ces comportements. Dans quelle mesure l'environnement qui nous entoure nous pousse-t-il vers cette obsession, qu'est le besoin de progrès ? Nous répondrons à cette problématique en étudiant ce que représentent les avancées pour l'Homme puis nous expliquerons que la rapidité au sein de la société amène une certaine admiration chez l'être humain. [...]
[...] Enki Bilal affirme également que la société souhaite valoriser ces améliorations constantes, car les citoyens se laissent guider par ces avancées, que ce soit en faisant de la surconsommation, car l'essor de la publicité est omniprésent faisant ainsi qu'un objet sorti récemment est aussitôt plus à la mode en vue d'un format améliorer disponible et que l'Homme est ainsi rythmé par ces tendances aux dépens même de notre pouvoir d'achat. Il ajouta que la société délaisse aussi tous les outils « fiables », autrement dit, que si une catastrophe technologique se produisait nous perdrons alors toutes nos ressources, compétences. Ces exploits que provoque la vitesse des nouvelles technologies amènent une certaine admiration chez l'être humain qu'il adopte dans instinctivement dans son quotidien. II. La rapidité au sein de la société amène une certaine admiration chez l'être humain D'autre part, ces progrès ont eu un réel impact sur l'opinion publique. [...]
[...] En outre, il ajouta qu'il n'y a pas que des avantages. En effet, les avancées technologiques aussi diverses soient-elles, entraîne une intensification générale de notre quotidien avec l'augmentation de la production, de la consommation et autre tel que la communication. En accord avec ces propos, Enki Bilal ajoute, durant son interview de 2011 dans le journal Le Monde nommé « On fait du surplace au beau milieu de s'accélération », que la vitesse des événements nous piétine, car dès qu'une information sort elle est aussitôt écrasée par une seconde et ainsi de suite, il parle même de manipulation médiatique. [...]
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