Les sports de rue sont largement méconnus. Toutefois ils occupent une place de plus en plus importante (beaucoup de pratiquants), ils consomment des produits sportifs et ils formulent de nombreux besoins non couvert.
Le sport d'un point de vue général connait des travers qui nuisent à sa perception et ses valeurs, toutefois on continue de reconnaitre des qualités socialisatrice en fonction de ses valeurs (altruisme,...) (...)
[...] Si on tolère c'est pour qu'elles ramènent les jeunes sur la voie des clubs. On voit même des clubs se reformer de l'intérieur pour proposer des pratiques alternatives dans des lieux non sportif. Le chemin à suivre c'est de tolérer un part de sport autonome, faire en sorte de guider les jeunes vers les clubs et surtout renoncer à la fuite en avant, la faillite de l'autorité publics. Faillite de l'autorité publique incarné par enjeux financier car élus il ne peut financer que des associations dument crées. [...]
[...] -Car elles apparaissent comme un moindre mal -les pratiques sportives de rue ne sont pas forcement en opposition à l'ordre sportif traditionnel car elles se développent à la marge des pratiques traditionnelles et non pas contre. Elles ne remettent pas le club en cause mais elle l'ignore. Le sport de rue peut aussi profiter aux clubs : -permette de moderniser les produits des sports traditionnels. -assure le renouvellement de nombre de licencié (retour dans le cadre fédéral ou viennent par la pratique de rue) De même assure une sorte de détection des meilleurs joueurs n'appartenant pas au club c'est pour ça que des clubs utilisent l'argent public pour la détection. [...]
[...] En effet hors du schéma démocratique il n'y a pas de reconnaissance possible. La voie royale pour accéder aux budgets et aux actions publiques suppose donc de rejoindre les clubs, hors ces derniers sont souvent discrédité. Un mode de socialisation déprécié. Une partie de la jeunesse échappe aux clubs pour 2 raisons : -évoqué par responsable des clubs : les jeunes sont incapables de respecter les règles et c'est par facilité qu'ils iraient voir ailleurs ; -évoqué par les jeunes : les clubs ne rempliraient plus leurs fonctions traditionnelles d'intégration sociale. [...]
[...] La souffrance est une composante de la pratique sportive qui génère du plaisir ! La nécessité de progresser tout le temps.==contrainte que rejette les sportifs de rue. Il condamne une forme d'omerta dans le monde du sport. Au bout du compte le dopage les motive à abandonner les clubs. Ambigüité : Dans la plupart des cas il adopte pour eux même des règles plus contraignantes, encore, que dans les clubs. Pour eux il y a une différence majeure entre les deux et elle tient au fait qu'il s'impose librement ces contraintes. [...]
[...] Commentaire : la condamnation du racisme primaire est très présente des sportifs de rue. Ils voient dans leurs origines un stigmate qui leur empêche l'accès à l'équipe 1ere en particulier, curieusement ce reflexe est contre dit par le haut niveau mais ce stigmate vient renforcer cette idée. Renversement du stigmate dont le processus : les jeunes stigmatisés utilisent cette perception d'autrui pour en faire un principe identitaire fondamental de leur propre personne. Le deuxième reproche sur la distinction entre les joueurs et le personnel encadrant. [...]
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