Ce travail propose d'analyser les ouvrages d'Henri Mendras, reconnus comme les fondements de la sociologie rurale.
[...] La France est un pays essentiellement caractérisé par son importante ruralité. Henri Mendras (1927-2003) sociologue français qui va apparaître dans les années 50' comme un sociologue qui va casser la rigidité de cette discipline car il va privilégier la diversité en ayant de l'intérêt pour les parcours (les formations) des individus avec qui il va travailler afin d'être toujours à l'origine de nouveaux savoirs. Il va décloisonner la sociologie en y incérant d'autres disciplines comme la psychologie, etc. Les ouvrages qui l'on fait connaître sont : - La fin des paysans (1967) - Actes Sud - 4ième édition en 1992 - Les sociétés paysannes (1976) - Gallimard coll. [...]
[...] Son originalité c'est qu'il démontre que la France n'est pas du tout une société bloquée, mais une société qui a fait preuve sur une trentaine d'années d'une capacité d'innovation. En 1990 il va animer le comité scientifique de l'Observatoire du Changement Social en Europe qui a pour mission de confronter les diagnostiques des différents problèmes de société des pays d'Europe Occidentale. Cet observatoire organise trois séminaires (le dernier traitant du suicide) pour montrer les différentes réalités des pays européens. Mendras va alors écrire un dernier ouvrage en 1997 : - L'Europe des européens (1997) -Gallimard coll. [...]
[...] Ce qui va lui permettre de comparer différents villages, des régions entre elles, voir au niveau Européen des pays entre eux. Les conclusions de ses travaux sont écrites de telle manière qu'on arrive à de grande généralisation. Il va donc fortement parler et réfléchir sur les différentes catégories sociales ainsi qu'à la "moyennisation" dont il est à la base de réflexion. L'itinéraire de Mendras Il est l'étudiant de Gurvitch (qui est lui-même l'étudiant de Durkheim) ainsi que de Friedmann et va vite s'imposer comme le spécialiste de la paysannerie et des sociétés rurales. [...]
[...] Ces réformes sont un mouvement sociale (tout les partis politiques de l'époque sont tous d'accord sur ce sujet) pour sortir la France de sa vieillesse. Les paysans vont devenir agriculteurs c'est-à-dire qu'ils vont s'occuper de la gestion. Parallèlement à cet enthousiasme arrive un autre phénomène, celui de la "fabrication d'enfant" le "Baby Boum" cela va donc entraîner une augmentation de la population et va amener à ce que la France devienne majoritairement urbain (pour 51% des gens). Il va y avoir une réduction des espaces à travers l'extension des cultivassions. [...]
[...] - Ils ne sont pas encore inscrits dans des structures traditionnelles. Les jeunes pensionnés ont eut des statuts de cadre, ont participé et assisté au trente glorieuses (après guerre jusqu'à la fin des années 70'). Ils ont connu de bonnes situations où les perspectives d'avenir étaient positives. Leurs conditions ne font que s'améliorer et ils sont arrivés à l'âge de la pension avec un mode de vie assez bien posé et assez d'argent. Après la retraite ces gens sont demandeur d'une vie active forte avec des moyens Mais ce sont les premiers à avoir ces conditions là. [...]
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