[...]
ARISTITE est le premier à observer le social. Dans un ouvrage, il établit une typologie des cités. Il les classe afin de comprendre cette organisation (démarche sociologique : la constitution d'Athènes semble être la plus efficace).
PLATON, raisonne en termes de sociétés idéales.
Ces raisonnements sont une prémisse aux travaux de DURKHEIM, WEBER et MARX (19ème siècle).
En sociologie, l'homme est l'objet d'informations, d'observations et d'interrogations.
[...]
La conception moderne de l'homme dans notre société n'est pas naturelle. Le fait de pouvoir critiquer apporte un savoir à l'homme.
Ex : Xenofan : les hommes ont crée des Dieux propres à leur image
THUCYDITE fut le premier à déclarer qu'une défaite guerrière n'était pas une vengeance divine.
Au moyen âge, Dieu est considéré comme celui qui a tout fait, et l'on doit se soumettre à lui : il faut donc passer par l'église. Tout s'explique par Dieu.
A la renaissance, une nouvelle conception de l'homme apparaît avec les humanistes qui croyaient en sa valeur. L'homme devient précieux, l'homme est un être unique.
Il y a apparence d'une méthodologie rationnelle d'observation de l'homme, du social.
Il y a une nouvelle conception de l'homme : les hommes se sentent heureux de vivre sur terre. La nature est quelque chose de positif. La terre est le centre de l'univers.
COPERNIC publie au 16ème siècle, un opuscule qui déclare que c'est la terre qui tourne autour du soleil.
KEPLER lui, dit que les planètes tournent en ellipse autour du soleil.
GALLILLEE va s'inspirer du corpus de COPERNIC et de KEPLER. Il va casser le concept que la lune est un miroir à surface plane avec des taches. Il va utiliser une méthode comparative et construire son objet : les ombres de la lune. Il annonce que les taches de la lune n'en sont pas, mais qu'il s'agit d'ombres (terre, soleil...).
Ces ombres se déplaceront par rapport à la place de la lune, la terre et du soleil. Pour vérifier cette théorie, il va passer tout un été à construire des lunettes d'observation des astres. Il annonce ensuite que la lune a une forme semblable à la terre avec des montagnes (...)
[...] LE SIECLE DES LUMIERES C'est grâce à la philosophie des lumières que la sociologie a pu se créer. DURKHEIM, dans un de ses ouvrages, fait référence à MONTESQUIEU. A cette période, il y a de fortes contestations (révolution française). Durant ce siècle, on observe la société avec objectivité. A partir de là, ROUSSEAU pourra analyser les inégalités sociales. Il y a la volonté d'éclairer certains sujets. L'apparence n'est pas toujours crédible, l'ancien n'est pas toujours juste et meilleur. MONTESQUIEU va donner à la sociologie, son objet d'étude (l'étude de la société comme une construction sociale) et sa méthode (méthode expérimentale comparative). [...]
[...] A la renaissance, une nouvelle conception de l'homme apparaît avec les humanistes qui croyaient en sa valeur. L'homme devient précieux, l'homme est un être unique. Il y a apparence d'une méthodologie rationnelle d'observation de l'homme, du social. Il y a une nouvelle conception de l'homme : les hommes se sentent heureux de vivre sur terre. La nature est quelque chose de positif. La terre est le centre de l'univers. COPERNIC publie au 16ème siècle, un opuscule qui déclare que c'est la terre qui tourne autour du soleil. [...]
[...] Le travail est un facteur de cohésion sociale. DURKHEIM rejette les thèses économiques, où il est dit que c'est l'argent qui permet la division du travail. DURKHEIM explique la division du travail par l'essor matériel et social de la société. Il s'agit de l'accroissement démographique qui vont induire des changements entre les individus entre eux. DURKHEIM va rappeler la fonction des corporations de métiers d'avant, en ce qu'elles permettaient aux individus la construction d'une conscience collective. L'ouvrage Les règles de la méthode sociologique (1895), rassemble les idées qu'il est possible de créer une discipline nouvelle : la sociologie ; et surtout, qu'il est possible de lui donner une légitimité scientifique. [...]
[...] Dans Le suicide (1897), DURKHEIM va mettre en œuvre une démarche sociologique, sur un objet considéré comme individuel. Le suicide serait un processus de dégradation psychologique : DURKHEIM refuse cela, et va donner une explication sociologique de ce phénomène. Il va dire que le suicide serait le symptôme de l'aboutissement d'une absence de cohésion et de lien social, entre les individus, s'inscrivant dans une société moderne et individualisée. Le suicide est un phénomène social. Pour lui, on ne peut expliquer le suicide par l'addition des suicides. [...]
[...] Ex : l'éthique protestante et l'esprit du capitalisme Chez les protestants, il y a beaucoup de capitalisme (seizième siècle) Dans les religions, se côtoient catholiques et protestants, ceux sont les protestants qui détiennent le pouvoir industriel et politique (dix-neuvième siècle). Il existe un lien entre une éthique puritaine et une éthique protestante. L'éthique religieuse qui découle de l'enseignement de CALVIN, favorise un état d'esprit et une orientation à des valeurs, qui invitaient à la poursuite des sciences naturelles. Les idées ont un rôle moteur dans l'histoire, celles-ci peuvent devenir des forces sociales efficaces. WEBER pense que la compréhension du monde passe par la compréhension des valeurs. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture