La culture est « un ensemble lié de manières de penser, de sentir et d'agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par une pluralité de personnes, servent d'une manière à la fois objective et symbolique à constituer ces personnes en une collectivité particulière et distincte », citation du sociologue Guy Rocher.
[...] Si les jeunes se démarquent des autres catégories d'âges, il ne forment pas une culture ou même sous-culture à part entière, on le voit également dans le vocabulaire et les sorties culturelles mais aussi le contexte familiales et les études : c'est un tout. Les jeunes des banlieues qui font un CAP ou un BEP ont moins de chance de décrocher un emploi que les jeunes diplômés avec un bac + 4 voire +5. L'entrée dans la vie active pour les moins diplômés est marquée du sceau du chômage et de la flexibilité. Les jeunes des banlieues sont découragés. Ils ont parfois une haine envers l'école. Ils sont victimes du divorces des parents, d'une famille monoparentale, d'une famille recomposée. [...]
[...] Tous les jeunes ne s'identifient donc pas au mouvement hip-hop et rap. La culture des beaux quartiers se caractérisent par certaines pratiques sportives comme le skateboard ou musicales avec la hard exerce son attrait chez les jeunes des couches moyennes. La techno est le nom générique pour désigner les musiques fabriquées à l'aide d'instruments électroniques (séquenceurs et échantillonneurs). La house, musique de répétition d'échantillonneurs sonores sur un tempo rapide, est dansée dans les raves-parties (rave = délire), ressemblent ponctuels auxquels participent les marginaux et les jeunes urbains de plus en plus nombreux Le phénomène est grandissant mais il se confronte parfois aux autorités qui y voient des rassemblement dangereux dans la mesure où la sécurité manque et des drogues y circulent. [...]
[...] mais il n'y a cependant pas une culture jeunes mais des cultures jeunes liées aux milieux sociaux Une vision trop unificatrice de cet âge de la vie est trompeuse car le monde de la jeunesse regroupe des situations très variées : des jeunes encore étudiants, des jeunes déjà concubins, des célibataires, des pacsés des délinquants, des jeunes ayant une activité, des chômeurs, des technoman des rappeurs, des hip-hop Les clivages entre les jeunes sont donc nombreux. Prenons premièrement comme exemple la musique. Entre culture jeune et culture de la rue, le mouvement hip-hop est, à l'origine, une forme de culture adolescente urbaine. Les jeunes des banlieues populaires dansent le smurf au pied des barres au rythme de NTM, MC Solaar, Eminem, Doc Gynéco ( ) avec, en arrière plan, des murs sales couverts de graffitis. [...]
[...] Ils préfèrent abandonner et rester traîner dans la cité à écouter du rap. Les enfants des beaux quartiers font de longues études. Leur temps libre est consacré à la visite d'un musée, voire une pièce de théâtre, aller au cirque, visiter un monument historique français Les enfants scolarisés sont plus favorisés par rapport aux jeunes de banlieues. On peut donc affirmés que les clivages entre les jeunes sont nombreux. Conclusion Un nouvel âge de la vie d'est interposé entre l'adolescence et l'âge adulte. [...]
[...] Le nom de l'émission est entrer dans le vocabulaire courrant des jeunes et presque dans le dictionnaire alors pourquoi pas dans celui des adultes ? Il existe d'autres comportements symboliques, goûts et pratiques qui caractérisent les jeunes du XXIè siècle. La famille est la première valeur des jeunes de 16 à 24 ans avant le travail, les amis, la religion et la politique. Avec l'augmentation de l'espérance de vie et celle des niveaux de vie, les liens entre les générations se sont développés. Les jeunes trouvent auprès des grands parents un soutien affectif et matériel (sous forme d'argent de poche par exemple). [...]
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