méthodologie, communication, écrite, orale, children
La vidéo que nous avons choisi représente une campagne publicitaire faite par l'organisation « NAPCAN » dont le but est de prévenir la maltraitance contre les enfants en Australie pour l'association caritative « Child Friendly », également australienne.
Cette vidéo constitue une parfaite illustration des expérimentations d'Albert Bandura – psychologue canadien, connu pour sa théorie d'apprentissage social vicariant, c'est-à-dire en observant le comportement des autres et les conséquences qui en résultent pour eux, et son concept d'auto-efficacité. Ainsi, dans cette vidéo, les sujets sociaux apparaissent à la fois comme les producteurs et les produits de leur environnement. En désignant les croyances qu'un individu a dans ses propres capacités d'action, quelles que soient ses aptitudes objectives, elle pose le sentiment d'efficacité personnelle comme base de la motivation, de la persévérance et d'une grande partie des accomplissements humains. Le fait de pouvoir apprendre par observation rend en effet les individus capables d'acquérir des comportements ou des savoir-faire sans avoir à les élaborer graduellement par un processus d'essais et d'erreurs.
La présentation de ce spot a pour but d'attirer l'attention et de choquer intentionnellement. Ce spot a donc été produit dans le but d'améliorer la société dans laquelle les enfants grandissent. Le but est donc de montrer que, quelques soient les actions, elles auront une influence sur eux.
Le slogan du spot publicitaire s'est inspiré de la citation jamaïcaine représentant la culture américaine du début des années 1920 : « Monkey see, Monkey do ».
[...] Qui ? La population entière, notamment les parents ainsi que toutes les personnes côtoyant régulièrement des enfants . Où ? La communication se fait sur des terrains neutres, très familiers pour le récepteur. Quand ? Là encore, pour adapter le spectateur, le temps n'est pas prédéfini afin d'accentuer la trivialité des actes. Comment ? [...]
[...] La présentation de ce spot a pour but d'attirer l'attention et de choquer intentionnellement. Ce spot a donc été produit dans le but d'améliorer la société dans laquelle les enfants grandissent. Le but est donc de montrer que, quelques soient les actions, elles auront une influence sur eux. Le slogan du spot publicitaire s'est inspiré de la citation jamaïcaine représentant la culture américaine du début des années 1920 : « Monkey see, Monkey do ». Dans une première partie, nous aborderons la vidéo dans son ensemble, notamment ses caractéristiques en terme de communication et son rapport avec les théories classiques de la communication ; dans la deuxième partie nous traiterons les différentes types de communication présentes dans la vidéo. [...]
[...] Le contexte de la communication dans cette vidéo est essentiel, car il nous permet de voir plus précisément les problèmes sociaux, et de comprendre minutieusement le message. Les problèmes sociaux étant : Le tabagisme ; L'impolitesse ; La pollution ; L'ivresse ; La rage au volant ; Le racisme ; La dégradation des biens publics ; La cruauté envers les animaux ; La maltraitance physique et verbale envers les enfants et femmes. Concernant les hémisphères cérébraux, on voit toucher tant l'hémisphère droite que gauche : Droite : elle tient du domaine non verbal, ressenti, nous aide à sentir cette vidéo, en faisant apparaitre des sentiments comme le choc, l'émotion. [...]
[...] Le type de support est la vidéo publicitaire . Conclusion Fou, mais malheuresement vrai, la personnalité d'un enfant se construit à travers les processus d'imitation et d'identification. « C'est à partir du moment ou il se reconnaît dans le miroir - c'est à dire se reconnaît en tant qu'humain - qu'il associe progressivement l'être et sa représentation, se mettant alors à imiter autant le modèle humain dans sa réalité que sa représentation télévisuelle » Dr. Stéphane Clerget pedopsychiatre La vidéo n'a pas été diffusée en France mais nous pouvons très bien l'associer aux problèmes que rencontre notre société. [...]
[...] Dans la vidéo on peut observer le silence des personnes indifférentes au fait que leurs enfants les imitent. On aborde également d'indifférence envers les personnes en besoin d'aide, on peut faire référence à la séquence concernant la sortie du métro. En ce qui concerne le paralangage, dans les séquences représentant la rage, le racisme, la dégradation des biens publics, la cruauté envers les animaux et la violence physique et verbale envers les enfants et les femmes, on observe que le volume de la voix des parents dans ces parties de la vidéo est élevé, le rythme des mots dits est rapide, et les sentiments dégagés sont très forts. [...]
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