Document très bien réalsié sur le procédé de la propagande. Cette étude répond à la question: comment une affiche ou un discours peut-elle convertir tout un peuple? Elle y décrit le procédé d'endoctrinement et de "bourrage de crâne". On y retrouve tout au fil de cette étude l'exemple de la propagande sous la dictature nazie.
[...] Le quatrième principe est que l'ennemi est capable de toutes les turpitudes et qu'il a tous les vices alors que la vertu règne dans nos rangs. La propagande poussée à l'extrême conduit au bourrage de crâne. Un autre objectif de la propagande alliée est de rassurer les pays étrangers, encore neutres, et en s'adressant à leurs opinions publiques, de les obliger d'une manière ou d'une autre à se prononcer pour le bon camp et même à s'engager dans la lutte. [...]
[...] p.3 Actualisation de la question . p.6 Bibliographie . p.7 Question de départ La propagande : comment une affiche ou un discours peut-il convertir tout un peuple ? Pour ce travail, j'ai choisi le sujet de la propagande car je trouve intéressant de voir comment un seul homme, Hitler en l'occurrence, a pu mener tout un peuple à le suivre ou du moins à ne pas se rebeller contre le pouvoir imposé. Bien que je ne partage pas leurs idées, je trouve que la politique de communication des dictateurs en général est stupéfiante. [...]
[...] Sur quels principes s'appuie la propagande ? La France en 1914 est un pays rural par opposition à l'Allemagne pays industriel. La propagande s'attache à la défense du sol, de la terre, valeurs que le paysan connaît, travaille tous les jours et qu'il est enclin à défendre quoi qu'il arrive. Cette terre lui colle aux pieds. La propagande joue pleinement son rôle quand elle l'invite à défendre farouchement la terre qui est son outil de travail. Le premier principe de la propagande est que l'armée française est meilleure que l'armée allemande. [...]
[...] Avec ce premier carnage planétaire de masse, la guerre de 14-18, se révèle toute la puissance de la propagande mondiale de masse. Les conditions d'une pratique systématique voire scientifique de la manipulation des foules sont réunies : des passions nationales et politiques surchauffées, des rotatives, des photos et un cinéma naissant offrant une représentation inédite de la guerre, des dépêches du front qui accélèrent le flux des nouvelles dramatiques, des foules partagées entre passions sociales et passions nationales. L'Union soviétique fait de l'agitation et de la propagande des «organisateurs collectifs», mettant tous les moyens de communication au service militant de l'État, à l'intérieur comme à l'extérieur des frontières. [...]
[...] Premièrement, il faut savoir que tout ce qui se lit, s'écoute ou se voit, n'est pas toujours la ‘vrai vérité'. Concrètement, est-ce que l'Irak paraîtrait aussi ‘méchant' si l'on avait pas insisté lourdement sur le nombre de victimes, effectué des reportages dans les familles des victimes, montré, remontré, démontré encore et toujours leur culpabilité ? Les victimes sont notre côté', on va donc les plaindre. C'est en tout cas les sentiments qu'inspirent les médias, peut-être inconsciemment, envers toute une population. [...]
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