Nous avons choisi cet article car le malaise au travail concerne toutes les catégories socioprofessionnelles. L'actualité montre l'importance de ce problème qui, à la veille de notre entrée sur le marché du travail, pourra nous concerner dans l'avenir.
Le malaise au travail est dû à une certaine pression professionnelle qui conjugue charge mentale avec quantité de travail, pression du temps et des objectifs. En général, il se manifeste par du stress, de la démotivation, un manque de reconnaissance, de l'agressivité et une fatigue morale (...)
[...] Les nouvelles organisations privilégient l'individualisation de l'évaluation et ont détruit la solidarité si bien que lorsqu'un salarié s'enfonce, personne ne bouge et il peut même faire l'objet d'une certaine animosité. L'autonomie présente des revers comme une grande pression ou un sentiment de solitude. On demande plus au salarié qui doit cumuler 3 savoirs : savoir (connaissance), savoir-faire et savoir être. Ce malaise entraîne aussi un fort absentéisme. Certaines personnes ne se lèvent plus le matin pour aller travailler, découragées par leur environnement de travail. D'après les psychologues, l'individu réagit devant les frustrations de trois manières : la fuite, le combat ou la soumission. [...]
[...] La France A quoi le malaise est-il dû? En France, la principale cause du malaise au travail est le manque de reconnaissance. Les français doivent faire face à un chômage de masse et donc de l'insécurité en matière d'emploi. De nos jours, lorsqu'ils se trouvent dans un emploi stable, ils se sentent en quelque sorte obligés d'y rester même si ce n'est pas un lieu permettant de s'exprimer, de s'accomplir et de nouer des liens sociaux (annexe 1). Ils n'ont plus la même envie de se lever le matin car avant, pour les français, le travail était synonyme d'investissement de soi-même, d'honneur à une profession et d'un véritable statut social. [...]
[...] C'est-à-dire améliorer la formation des jeunes (avec l'alternance par exemple), et préserver l'emploi des seniors par la mise à jour des compétences professionnelles. Depuis l'apparition de la concurrence, l'entreprise ne peut plus garantir la sécurité de l'emploi à ses salariés. Elle doit donc leurs offrir des atouts utiles sur le marché du travail, comme des formations. III. Le monde La situation aux États-Unis Les États-Unis fait parti des pays les plus développés. Quelle est la mentalité des américains au travail ? [...]
[...] La pathologie la plus répandue est le syndrome du canal carpien. Mais il y a aussi les tendinites (inflammation du tendon). Elles sont dues à des efforts excessifs, à la répétition des gestes, au travail dans une position statique maintenue et à un temps de récupération insuffisant. Les TMS ont apparu avec les nouvelles organisations de travail c'est-à- dire la perte de contrôle du travail, la réduction des marges de manœuvre du salarié et les relations interpersonnelles. Les solutions pour diminuer les TMS sont le respect des valeurs essentielles et l'application de bonnes pratiques du travail. [...]
[...] Malgré le malaise des américains sont satisfaits de la relation avec leurs collègues.( annexe La situation au Danemark Au Danemark, il y a très peu de chômage. C'est pourquoi le malaise au travail est peu présent car il est plus facile de trouver un emploi. La société est basée sur le triangle d'or c'est-à-dire sur la générosité de la protection social et l'importance des politiques dites actives (Annexe 3). Tout d'abord la générosité de la protection sociale dans la rémunération des personnes non employées est importante. [...]
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