Lutte contre les dérives sectaires, dérives sectaires, sectes, radicalisme, radicalisation mondiale, djihad, social, témoins de Jéhovah, organisations psychologiques, informations, communication, internet, contrôle des informations
Plus de 1900 français ou personnes résidant normalement en France sont concernés par le djihad. Environ 650 personnes sont déjà en Syrie ou en Irak dont 250 femmes et une vingtaine de mineurs. Mais comment les dérives sectaires prennent-elles tant d'ampleur dans notre société ? Pouvons-nous penser qu'il n'est pas possible d'y remédier ? La lutte contre les dérives sectaires est-elle vaine ? Face aux dérives sectaires, la lutte n'est pas vaine. On peut éviter à certains hommes de plonger dans l'intégrisme ou lorsqu'il est déjà trop tard : les aider à en sortir. Pour cela, il est important de sensibiliser toute la population et en particulier les individus désorientés, ou dotés de peu d'esprit critique, car ils sont les plus à risques d'être embrigadés.
[...] Serait-ce légitime de retirer l'enfant à ses parents ? En retirant l'enfant, n'est-ce pas prendre le risque de donner un rôle de martyre aux parents et donc de les rendre exemplaires ? Cette situation divise et appuie la complexité pour l'État de fixer des lois sur le sujet. Une solution serait d'empêcher tout contact avec des hommes dont on suppose l'appartenance à une secte en leur interdisant par exemple l'accès aux lieux publics, mais cette solution paraît inconcevable, car elle remet en cause les principes de libertés auxquels nous sommes très attachés. [...]
[...] Internet facilite grandement la diffusion de la propagande, aide à l'enrôlement et vient compléter la rencontre et les discussions avec des individus à dérives sectaires. Les principes de liberté ne peuvent permettre un isolement ou un cloisonnement des hommes membres d'une secte. Même si face à l'avancée du radicalisme la France semble un peu démunie, la lutte face aux dérives sectaires n'est pas vaine. Face à ce questionnement complexe, les avis divergent. Le plus difficile reste donc à trouver une législation plus adaptée et de suivre de près les nouvelles formes d'enrôlement pour ainsi mieux les endiguer. [...]
[...] Ce sont en général des jeunes isolés, touchés par des inégalités, rejetées, fragiles émotionnellement, en quête d'identité, à l'écart de la société, souvent en manque d'affection, de confiance en eux, et qui ne trouvent pas de réponses à leurs questions. La secte leur paraît comme une solution, car elle leur propose des réponses et une sécurité que n'offre pas la société. La prévention et les campagnes de sensibilisation ne sont donc pas toujours efficaces pour ces certains individus. L'État mise donc sur des mesures contre la radicalisation, et favorise la création de législation, de cellules psychologiques, etc. [...]
[...] La lutte contre les dérives sectaires est-elle vaine ? Plus de 1900 français ou personnes résidant normalement en France sont concernés par le djihad. Environ 650 personnes sont déjà en Syrie ou en Irak dont 250 femmes et une vingtaine de mineurs. Mais comment les dérives sectaires prennent-elles tant d'ampleur dans notre société ? Pouvons-nous penser qu'il n'est pas possible d'y remédier ? La lutte contre les dérives sectaires est-elle vaine ? I. Face aux dérives sectaires, la lutte n'est pas vaine On peut éviter à certains hommes de plonger dans l'intégrisme ou lorsqu'il est déjà trop tard : les aider à en sortir. [...]
[...] C'est pourquoi la lutte contre les dérives sectaires et l'intégrisme semble vaine. La diffusion des informations est libre en particulier sur internet. Des images, des témoignages, des vidéos sont facilement partagés, mais leur fiabilité n'est pas toujours au rendez-vous. Internet est un outil merveilleux, mais utilisé à de mauvaises fins il peut prendre un tout autre visage. Il devient un outil de propagande et d'enrôlement. L'accès aux informations et la mise en ligne sont facilités, le contenu est difficilement effaçable. [...]
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