Comme le dit la maxime « Le langage fabrique les gens bien que les gens ne fabriquent le langage » (Goethe), de plus le langage est défini par le dictionnaire Larousse comme la « faculté que les hommes ont de communiquer entre eux et d'exprimer leur pensée au moyen de signes vocaux, qui peuvent éventuellement être transcrits ». Il désigne donc ce qu'il y a de commun chez les individus dans leur façon de l'utiliser, c'est ce qu'on appelle l'aptitude à parler.
De même, cela démontre bien l'importance de la place de l'apprentissage du langage dans la vie quotidienne des personnes. En effet, les compétences langagières et de communication procurent les outils essentiels à cette instruction, aux relations sociales ainsi qu'à la régulation du comportement et ce, dès le début de l'enfance
[...] Effectivement, l'inégalité de langage peut s'expliquer par le fait que la scolarité des élèves étrangers qui vivent en France est caractérisée par un fort taux d'échec. Et forcément, cela est lié à une distance avec leur langue d'origine, ainsi que de leur culture avec la culture de l'époque ils doivent s'adapter. Ainsi, être arrivés en France parfois bien après l'âge d'entrée à l'école primaire, les faits démarrer dans la vie avec des lacunes. Ils accumulent rapidement un important retard, qui est en général fortement visible et persistant. [...]
[...] Ainsi Raymond Boudon et Pierre Bourdieu se sont consacrés à l'expliquer. Raymond Boudon, tente d'éclaircir cette théorie en disant que pendant longtemps on a considéré que la principale cause de la mobilité sociale correspondait au fait que l'on a toujours voulu lui donner une forme factorielle C'est-à-dire, à identifier des facteurs de la mobilité dont les actions étaient connues comme s'ajoutant les unes aux autres Mais Boudon reprend cette théorie en disant qu'il y a une relation entre le niveau d'instruction et le statut socioprofessionnel. [...]
[...] Ce mécanisme commence dès le plus jeune âge en s'effectuant sous le contrôle des parents dans un premier temps, et par la suite, l'école primaire participe également à cette instruction elle en devient même la principale institution socialisatrice, et plus spécifiquement c'est ce que l'on nomme comme étant la socialisation scolaire. Par conséquent, le langage se trouve au sein de l'apprentissage et de la vie à l'école. C'en est même une priorité dans le programme scolaire. Les objectifs étant de développer le langage de chaque enfant et de l'élargir à un langage disciplinaire. [...]
[...] Il correspond au rapport entre l'âge mental et l'âge réel d'un enfant multiplié par 100. Ce test s'est construit en ayant pour bases les prémices d'Alfred Binet, et permet ainsi d'attribuer à un enfant un âge mental, âge chronologique moyen des réponses équivalentes à celles de l'enfant observé. Actuellement, le quotient intellectuel moyen équivaut à un score de 100. Cette mesure d'intelligence permet de façon efficace de démontrer le fait que les enfants sont inégaux, et ce individuellement parlant vis-à-vis de l'apprentissage du langage de l'école. [...]
[...] Il y a également la dysphasie, c'est un retard et une altération importante du langage chez l'enfant. Cette maladie est marquée par une insuffisance de l'articulation et de la différenciation perceptive des sons ainsi que par une mauvaise intégration des structures grammaticales et sémantiques de la langue. Ce problème est caractérisé par une production verbale indistincte, peu structurée, et par un manque de vocabulaire, l'enfant se retrouve face à l'incapacité d'exprimer ce qu'il souhaite. Enfin, on constate qu'il y a d'autres causes qui sont à l'origine de l'inégalité de langage au sein de l'école primaire. [...]
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