Philosophie, Nietzsche, compétence, puissance, être humain, humanité, Seconde Guerre mondiale, culture, langage, SHS Sciences Humaines et Sociales, compétence individuelle, éducation, auto-évaluation
La compétence est au centre de la volonté de pouvoir nietzschéen. Cependant, il n'y a pas de doctrine claire et organisée des instincts chez Nietzsche qui parle de différentes manières à différents moments, y compris les instincts dits culturels qui agissent sur l'individu parce qu'ils conditionnent les perspectives et les interprétations du monde. La volonté de puissance peut être comprise comme une manière de philosopher, c'est une invitation à penser, Nietzsche ne voulait pas de suiveurs.
Nietzsche propose de comprendre l'humain comme un microcosme, où la volonté de puissance est le lien entre l'homme et ce cosmos. Ce jeu entre le devenir et l'être, la divinité qui construit et détruit et qui produit la réalité, est un grand jeu qui englobe un complexe de réalité. La compétence est un façonneur de hiérarchies et la formation de hiérarchies est importante pour former des entités, car le multiple, étant organisé, a besoin d'une certaine forme de hiérarchie. Elle est donc au centre de l'approche du pouvoir durable.
[...] Lamri, J., Barabel, M., & Meier, O. (2018). Les compétences du 21e siècle. Dunod. Lasserre, P., & Nietzsche, F. (2022). Morale et pensée de Nietzsche. Editions Homme et Litterature. Nguyen, D., & Blais, J. [...]
[...] Nietzsche met en relation la culture et l'enseignement universitaire. Cette relation est médiatisée par les intérêts de l'utilité et de l'égalisation des hommes, qui détournent les universités de leurs objectifs en tant qu'institutions culturelles. Ces effets résultent de la tendance paradoxale à promouvoir l'expansion culturelle dans les universités, tout en la limitant par des frontières tracées par l'État et l'économie politique. En conséquence de ce type d'éducation orientée par la culture de la machine, les multiples possibilités de formation culturelle, qui visaient à fournir à l'homme un large répertoire de convictions à partir desquelles il pouvait orienter son existence, paradoxalement, sous l'impératif économico-politique d'étendre sa propre culture, ont été réduites à leur expression minimale. [...]
[...] (1993). OEuvres. Paris, Bouquins La compétence est au centre de la volonté de pouvoir nietzschéen. Cependant, il n'y a pas de doctrine claire et organisée des instincts chez Nietzsche qui parle de différentes manières à différents moments, y compris les instincts dits culturels qui agissent sur l'individu parce qu'ils conditionnent les perspectives et les interprétations du monde. La volonté de puissance peut être comprise comme une manière de philosopher, c'est une invitation à penser, Nietzsche ne voulait pas de suiveurs. [...]
[...] Pour conclure, pour préciser le caractère cliniquement bénéfique ou toxique de la connaissance, Nietzsche esquisse un critère fondé sur le dynamisme et la créativité constitutifs de la pensée. C'est pourquoi le signe qui distingue la dimension négative est la tendance à exprimer et à générer une disposition passive, non seulement dans le développement de l'intellect mais dans la vie en général. Corrélativement, les signes d'une science saine peuvent être perçus dans la manière dont elle s'affirme à travers son activité. [...]
[...] Les réseaux sociaux, les médias de masse, etc. sont beaucoup plus puissants que les écoles pour produire le type d'individu dont le système a besoin. Les grandes entreprises technologiques, telles que Google, Apple ou Facebook, investissent des sommes de plus en plus importantes dans la recherche éducative et développent des projets éducatifs qui sont ensuite introduits dans les systèmes du monde entier. Les avantages de la gestion basée sur les compétences peuvent être observés dans de nombreux domaines de la réalité économique. [...]
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