Il est possible de comparer une personne motivée à une voiture en marche. On considère alors le point de départ de cette voiture comme l'ensemble des expériences et des influences qui ont marqué l'histoire individuelle. Le moteur peut être comparé au mécanisme de la motivation et l'essence à la source d'énergie personnelle. Pour terminer cette métaphore, il est également important de déterminer la destination de cette voiture, qui représente les désirs fondamentaux et les aspirations.
On distingue ainsi quatre désirs fondamentaux qui sont : le désir d'aimer, le désir de se réaliser, le désir d'acquérir, et le désir de ne pas mourir. Chacun de ces désirs est plus ou moins alimenté par des sources d'énergie parmi lesquelles l'amour, l'angoisse et la colère.
Il est important de noter que le désir de réalisation personnelle est le plus concerné par la vie professionnelle et qu'il est sous-tendu par « l'Idéal de Moi », une des instances de notre appareil psychique, selon Freud. Cet Idéal de Moi est en quelques sortes un modèle idéal de nous qui s'est constitué à partir d'images idéales que nous avons intégrées dans notre enfance ou notre adolescence et auquel nous cherchons à nous conformer. Cette instance est donc au centre de la motivation puisqu'elle touche au désir de réalisation de soi. Aussi, comme le dit Lévinson [...]
[...] Ce sont les avantages sociaux, les conditions matérielles de travail, le salaire Ces facteurs provoquent de l'insatisfaction quand ils ne sont pas pris en compte, mais n'entraînent pas de satisfaction supplémentaire quand ils le sont ; il y a simple absence d'insatisfaction. Ces facteurs concernent les besoins du bas de la pyramide de Maslow. D'autre part, les facteurs moteurs, qui ne provoquent pas d'insatisfaction quand ils ne sont pas pris en compte, mais qui déclenchent une satisfaction importante quand ils le sont. Ces facteurs moteurs sont les possibilités de carrière, la responsabilité Ces facteurs ont plus à voir avec les besoins que Maslow a placé en haut de la pyramide. [...]
[...] La psychologie fonde la motivation sur des désirs fondamentaux ainsi que sur la réalisation de soi. Mais les théories sociologiques (Maslow, Herzberg, Vroom, ) ont approché cette motivation du monde de l'entreprise. C'est une notion qui fait désormais partie intégrante de la vie au travail. Elle est l'un des rôles principaux du dirigeant vis-à-vis de ses employés. Pour cela, beaucoup de critères sont à prendre en compte comme la communication, l'estime, la fixation d'objectifs ou encore l'intérêt pour son travail. [...]
[...] Dans la même idée, on parlera de motivation extrinsèque et intrinsèque. Herzberg constate également que les facteurs d'hygiène engendrent une motivation extrinsèque, alors que les facteurs moteurs provoquent une motivation intrinsèque Les autres théories des besoins : Le courant psychanalytique recoupe le schéma de réduction de tension et la valorisation d'un type de besoins particuliers. Murray quant à lui donne une liste de vingt besoins fondamentaux, tous latents mais plus ou moins développés suivant l'histoire de l'individu. On retrouve par exemple le besoin de domination, d'agression, de sensations, d'ordre, de compréhension La théorie des attentes : 1. [...]
[...] En revanche, d'après les psychologues, il s'agirait plus exactement d'un intérêt spontané pour une tâche particulière. De nos jours, ce sujet est abordé dans chaque entreprise d'une part pour permettre aux travailleurs d'apprécier leur travail, et d'autre part d'obtenir une meilleure productivité. Il est donc important d'analyser ce phénomène à la fois de manière psychologique et de manière sociologique. Ainsi, il sera plus aisé de l'appliquer au monde de l'entreprise. Néanmoins, toutes choses ayant ses défauts, la motivation au travail fait l'objet de diverses critiques. I. Les facteurs psychologiques de la motivation. [...]
[...] Il est important de noter que le désir de réalisation personnelle est le plus concerné par la vie professionnelle et qu'il est sous-tendu par l'Idéal de Moi une des instances de notre appareil psychique, selon Freud. Cet Idéal de Moi est en quelques sortes un modèle idéal de nous qui s'est constitué à partir d'images idéales que nous avons intégrées dans notre enfance ou notre adolescence et auquel nous cherchons à nous conformer. Cette instance est donc au centre de la motivation puisqu'elle touche au désir de réalisation de soi. [...]
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