Etude des faits sociaux, Emile Durkheim, Max Weber, suicide, Baptiste Coulmont, Cécile Dehesdin, Jean-Marie Pottier, nazisme, choix du prénom, agrégation statistique de données, variables intermédiaires, discrimination, Eric Dagiral, rationalité, self-tracking, qualification de soi, étude de documents
Ces auteurs considèrent le suicide (d'après Durkheim) ou le choix du prénom (d'après Coulmont, Guy Desplanques, etc.) comme un acte non pas individuel, mais social. Les auteurs analysent donc les typologies sociales, donc des descriptions des formes typiques d'une société, pour expliquer certains phénomènes sociaux. Durkheim observe le suicide comme un acte non pas individuel mais collectif et en l'étudiant, il nous permet de faire des rapports sur un "malaise sociétal", une notion de Durkheim : "On ne peut donc enrayer ce courant de tristesse collective qu'en atténuant, tout au moins, la maladie collective dont il est la résultante et le signe".
[...] Malgré tout, cette loi ne résout pas la discrimination fondée sur l'âge et le sexe. Ici, le choix du prénom est donc en corrélation directe avec le processus social de discrimination. II. Weber, et les rationalités Économie et Société, pages 49-52 - Max Weber (1995) Extension chiffrée du domaine du perfectionnement ? La place des technologies de quantification du soi dans les projets d'auto- optimalisation des individus, pages 719-734 - Eric Dagiral (2019) A. Quels types de rationalité distingue Weber ? Comment les caractérise-t- il ? [...]
[...] Donc ce choix peut montrer l'opinion générale des parents et leurs valeurs. Au-delà de cela, ce choix mentionné peut révéler l'ethnicité du porteur, ce qui conduit à des phénomènes sociaux tels que la ségrégation, la racisation ou la discrimination (négative ou positive) dans le monde du travail, mais aussi dans l'éducation. Après l'analyse effectuée dans le domaine de l'éducation, on peut donc constater que le prénom est un indicateur d'appartenance sociale : la richesse, le niveau d'éducation moyen ou encore le revenu de la famille, car on considère que certains prénoms sont favorisés dans certains milieux sociaux. [...]
[...] Elle est un exemple d'un autocontrôle conscient dans son « self-tracking » pour trouver un équilibre personnalisé et le meilleur possible pour elle-même. Elle n'utilise pas les technologies numériques dans son optimisation de soi dans sa vie de tous les jours, mais elle en profite de temps en temps : « c'est du monitoring à mes yeux maintenant, j'ai fini de découvrir des petites choses depuis longtemps . [ ] j'ai laissé des alertes, j'ai un message si vraiment je n'ai rien fait, qu'il y a un problème si je suis trop débordée trop stressée au moins je m'en rends compte. [...]
[...] On peut même dire qu'il en donne la mesure. » dit Durkheim. D'après le tableau page 16, l'histoire de l'Europe est en proie à des changements profonds dans la société ainsi qu'au niveau constitutionnel dès 1848. Ces changements drastiques conduisent à une crise sociale que l'on peut observer par le taux de mortalité volontaire qui est alors en augmentation volumineuse lors de cette période donnée. Après cette date, nous voyons d'ailleurs plusieurs crises au niveau national en Europe, par exemple en 1860 en France ou 1866 en Allemagne. [...]
[...] L'étude des faits sociaux par Émile Durkheim et Max Weber Théories de sciences sociales TD/troisième séance I. Durkheim, et l'étude des faits sociaux Le Suicide, Étude de sociologie : livre I - Emile Durkheim (1897) Sociologie des prénoms, pages 57 à 86, partie III, Les usages sociologiques - Baptiste Coulmont (2014) « Avec Baptiste Courmont, la sociologie se fait un prénom » - Cécile Dehesdin et Jean-Marie Pottier (2013) A. Pour les auteurs des trois textes, à quoi sert la démarche d'agrégation statistique de données concernant des phénomènes comme le suicide ou le choix des prénoms des enfants par les parents à l'échelle des pays ? [...]
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