De formation historique et éprouvant une forte attirance pour la civilisation celtique continentale, nous nous sommes attachés à jouer le rôle de l'anthropologue historique en allant à la rencontre de la structure de cette société antique dans l'espoir d'y découvrir ces étranges phénomènes qui caractérisent nos sociétés que sont les micros faits sociaux. Au hasard de nos recherches, notre attention s'est portée sur deux détails intéressants : le port des braies et le recours à un alphabet étranger pour l'écriture du gaulois.
[...] Alors que dans les autres grandes civilisations de l'antiquité on porte la tunique longue et ceinturée à la taille, appelée shenti en Crète, chiton chez les Grecs, les Romains portent le pagne comme en Égypte auquel ils ajoutent la toge. On note donc très clairement la particularité celtique et plus particulièrement gauloise car les braies ne sont attestées qu'en Gaule. Autre particularité de cette tenue : elle n'est pas fonction de la place au sein de la société, ni de l'âge, ni même de la fonction. Le recours à ce vêtement ne trouve aucune origine, ni pratique, ni climatique puisque les peuples plus au nord comme les Germains ne l'utilisaient pas. [...]
[...] Ces tablettes contenaient la liste nominative de tous ceux qui étaient partis de chez eux et qui pouvaient porter les armes, avec à part, les femmes, les enfants et les vieillards. Ce témoignage nous est très précieux, car il nous renseigne sur l'alphabet utilisé, ici le grec, sur l'usage de cette écriture, quotidienne ou civile, ici un recensement, ces deux facteurs nous montrent qu'il est naturel pour ce peuple d'utiliser ces caractères grecs car sinon ils auraient été écrit soit en gaulois (inexistant nous l'avons vu) ou en latin (pour la compréhension des envahisseurs or il n'en est rien. [...]
[...] La troisième position fait intervenir vos bras, en effet, écartez les coudes et décollez vos bras de votre corps, de manière à orienter votre main droite vers la gauche (paume dirigée vers le ciel) et votre main gauche vers la droite (paume toujours vers le sol). Les pouces devant se trouver ainsi face-à-face (vers l'intérieur). (figure Afin d'obtenir la quatrième position, faire glisser vos pouces l'un contre l'autre jusqu'à ce que le pouce de la main gauche rencontre le sommet du bouchon de l'autre main et inversement, que votre pouce droit se place sur le dessous du bouchon gauche. (figure 4). Notez que votre main gauche est légèrement plus haute que la droite. [...]
[...] On peut tenter à travers la description de ces deux micro-faits sociaux de dégager l'un des codes sociaux gaulois. Le port des braies nous montre l'attachement particulier des Celtes pour leurs origines et les traditions misent en place par leurs pères. Pour aller plus avant il nous faut dévoiler un troisième micro-fait social celtique : il est interdit d'écrire le sacré. Le sacré, c'est ce qui touche aux origines et à la tradition, à la connaissance des druides. Les auteurs classiques parlent d'un alphabet secret d'origine gauloise et que personne n'utilise, pourquoi alors avoir recours à d'autres alphabets ? [...]
[...] Répétez cette opération pour le second bouchon dans votre main droite. Ayant bloqué les bouchons dans chacune de vos mains, maintenez vos mains tendues, parallèles et la paume orientée vers le sol. Vous êtes à présent dans la position de base (figure 1). La seconde position est la plus simple et la plus rapide à réaliser, bien entendu chaque position est la suite de la précédente dans la réalisation de la passe du sommelier. Aussi, après avoir réalisé la première position et tout en maintenant les bouchons perpendiculaires et les mains parallèles, faites pivoter votre main droite à afin d'orienter la paume de cette main vers le ciel. [...]
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